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Hier, le titre Twitter a encore connu une nouvelle journée de baisse, faisant chuter le cours à 57,05 $. Une spirale négative qui dure depuis la fin de l’année et qui risque de continuer. Explications...
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Introduit à 26 $ US le 7 novembre dernier, l’action Twitter a connu depuis la courbe d’une véritable bulle spéculative en atteignant le samedi 26 décembre un cours record de 73,31 $ soit presque 3 fois son prix d’introduction, avant de commencer sa chute actuelle.
Dans l’intervalle, le titre a tout de même connu un soubresaut en remontant à 69,00 $ le 3 janvier dernier, mais l’avis des différents experts de la sphère financière et notamment les déclarations de la banque Morgan Stanley lundi 6 janvier ont fini par avoir raison de l’optimisme des investisseurs.
Hier, l’action a une nouvelle fois clôturé en baisse (-3,78 %) à 57,05 $, et la tendance semble se confirmer.
Pourtant, depuis l’entrée en [a[Bourse]a] du réseau social en novembre, rien n’a changé. La marque à l’oiseau bleu n’a jamais caché ses pertes annuelles, et son modèle économique basé sur la publicité n’a pas évolué d’un iota.
Alors pourquoi ce retournement soudain ? Tout simplement car l’objectif de cours de nombreux courtiers a été dépassé depuis longtemps et qu’il est donc normal que la plupart d’entre eux prennent aujourd’hui leurs profits.
L’évolution du cours de l’action en décembre a été prodigieuse et sans fondement rationnel. Aujourd’hui, la valorisation boursière de Twitter est de plus de 31 milliards de dollars. Un chiffre aberrant pour un groupe qui n’a jamais dégagé le moindre dollar de bénéfice, et dont le chiffre d’affaires n’atteignait que 422 millions de dollars sur les 3 premiers trimestres de 2013.
L’augmentation purement spéculative du cours de l’action Twitter devait donc bien un jour faire face à la réalité des prises de bénéfices, et les multiples déclarations des différentes [a[banques]a] ont finalement eu raison de la bulle.
Dans une note publiée fin décembre, le site d’analystes 247wallst.com résumait parfaitement la situation du titre sur le marché financier : "il est difficile ou impossible pour les analystes de gérer la valorisation boursière de Twitter".
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