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Le Comité monétaire de la banque centrale américaine (Fed), réuni pour la première fois sous la houlette de son nouveau président Jerome Powell, devrait relever les taux d’intérêt mercredi pour éviter la surchauffe d’une économie dopée par les mesures de l’administration Trump.
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Jerome Powell, qui succède à Janet Yellen partie en février, l’a dit devant le Congrès récemment : il y aura "d’autres hausses des taux graduelles" vu "la croissance économique forte" dopée par "une politique budgétaire devenue plus stimulante".
Les taux d’intérêt au jour le jour devraient ainsi s’établir dans la nouvelle fourchette de 1,50% à 1,75%. Ce sera le cinquième tour de vis monétaire depuis décembre 2016, après l’élection de Donald Trump.
Mais au-delà de ce relèvement attendu, qui sera annoncé dans un communiqué à 18H00 GMT, les économistes vont regarder de près les nouvelles prévisions économiques de la Fed, que ce soit en terme de croissance, d’[a[inflation]a] ou de politique monétaire.
Les dernières datent de décembre et les membres de la Fed avaient intégré dans leur projection de croissance (2,5% pour 2018 et 2,1% pour 2019) les réductions d’impôts promues par Donald Trump.
Mais depuis, l’administration a encore ajouté au pot 300 milliards de dollars de dépenses militaires sur deux ans, ce qui devrait encore stimuler l’économie.
Le FOMC pourrait aussi rehausser sa prévision d’inflation alors que le taux de chômage déjà très bas (4,1% et vers 3,9% cette année, selon la Fed) pousse les entreprises à augmenter les rémunérations pour attirer et garder les salariés.
Enfin et surtout, la Fed va reconsidérer combien de hausses de taux sont probables cette année. Alors que jusqu’ici, les membres du Comité ont prévu trois hausses d’un quart de point cette année, de nombreux économistes jugent que la Fed s’apprête à programmer quatre relèvements.
La Fed d’Atlanta, qui concocte régulièrement un indice de prévision de croissance, a ainsi révisé en baisse sa projection pour le 1er trimestre à 1,8% en rythme annuel au lieu de 3% il y a quelques semaines, qui est l’objectif de l’administration Trump. Ce coup de frein devrait toutefois laisser la place à un rythme plus fort au 2e trimestre.
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