Tesla : une baisse de tension historique
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– Le plan de rigueur présenté par le gouvernement grec et le soutien conditionnel affiché des gouvernements de l’Allemagne et de la France vont alléger la spéculation sur la dette du pays et celle des autres pays fragiles de la zone euro, et inverser le mouvement de fuite vers la qualité.
– Mais compte tenu de l’abondance des liquidités en circulation, la hausse des taux longs allemands qui peut en résulter devrait rester limitée à court terme.
- Inversement du mouvement de fuite
Le mouvement de fuite vers la qualité constaté depuis deux mois du fait des déboires de la Grèce pourrait maintenant s’inverser. D’une part, la préparation à Athènes d’un plan de rigueur soutenu par les grandes capitales européennes va susciter un transfert du risque de crédit des Etats les plus vulnérables vers ceux réputés les plus forts.
D’autre part, d’une manière structurelle et à plus long terme, une réglementation plus stricte de l’activité sur CDS souverains, voire l’interdiction de ces produits va alléger la pression spéculative sur les dettes publiques les plus malmenées (Grèce, Portugal, Espagne…), apportant un nouveau facteur de rétrécissement desspreads. Après s’être détendus sous la pression de facteurs exogènes qui se dissipent peu à peu (correction sur les marchés d’actions, puis crise grecque), les taux allemands sont donc mécaniquement amenés à remonter.
- Potentiel de rebond des taux longs limité
Ce potentiel de rebond des taux longs reste toutefois limité. La première raison est la masse encore considérable de liquidités encore en circulation sur les marchés. Par ailleurs, les investisseurs internationaux vont continuer de miser sur l’obligataire européen, faute de mieux : compte tenu des perspectives inflationnistes américaines plus élevées, ils semblent attendre un rebond des taux courts plus précoce aux Etats-Unis qu’en Europe. Le marché américain est donc moins sûr que celui du Bund. Quant aux rendements japonais, ils sont bien trop bas pour justifier un investissement de la part d’investisseurs non domestiques.
Pour toutes ces raisons,les taux allemands à 10 ans pourraient osciller entre 3,10% et 3,35%d’ici à la fin du mois de mars (contre 3,16% aujourd’hui).
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