
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
La Bourse de Paris a finià l’équilibre (-0,07%) lundi, au terme d’une séance marquée par la nervosité et les doutes autour de l’aptitude de Donald Trump à agir après l’échec sur sa réforme de santé.

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L’indice CAC 40 a lâché 3,47 points à 5.017,43 points, dans un volume d’échanges faible de 2,9 milliards d’euros. Vendredi, il avait fini en repli de 0,24%.
Après avoir ouvert en net repli, sous le coup de l’annulation in extremis vendredi soir par le président américain de son projet de remplacement de la loi dite "Obamacare", la cote parisienne a progressivement réduit ses pertes aufil de la séance.
"L’indice parisien a connu un trou d’air à l’ouverture, liée à l’échec du président américain vendredi soir à convaincre sa majorité", a expliqué Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
"Car cet échec soulève de nombreuses questions sur sa capacité à mettre en place d’autres réformes et particulièrement celle sur la fiscalité" qui a notamment servi de soutien à la hausse des marchés boursiers depuis son élection, a-t-il complété.
En fin de séance "les marchés européens ont réussi à limiter leurs pertes, aidés pardes facteurs techniques et par une certaine résistance de la Bourse de New York à l’ouverture", a noté M. Baradez.
Mais "au-delà de la tendance elle-même, la séance a surtout été marquée par un regain de volatilité, avec un niveau de nervosité qui n’avait plus été observé depuis fin 2016", a souligné M. Baradez.
"Et comme les questions politiques aussi bien aux États-Unis qu’en France vont sans doute continuer à dominer l’agenda, la cote parisienne risque de connaître des phases plus nerveuses", a-t-il estimé.
Dans ce contexte, l’améliorationplus forte que prévu du moral des entrepreneurs allemands , grimpant à son plus haut niveau depuis presque six ans, a eu un impact limité.
Sur le front des valeurs, les titres cycliques, les plus sensibles à la conjoncture, ont été pénalisés, à l’image d’ArcelorMittal (-4,87%à 7,60 euros), LafargeHolcim (-0,69% à 53,35 euros), Schneider Electric (-1,44% à 66,34 euros) ou encore Saint-Gobain (-1,37% à 46 euros).
Air France a chuté (-4,60% à 7,16 euros), lesté par un abaissement de sa recommandation à "sousperformer" contre "acheter" auparavant par BofAML. La compagnie aérienne a par ailleurs annulé ses vols vers Cayenne depuis dimanche, sur fond de conflit social en Guyane.
abx/ef/nas


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