
Obligations : la France a émis 1,22 milliard d’euros d’OAT indexées sur l’inflation
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
Non, les investisseurs ne sont pas tombés sur la tête. Non, le marché n’anticipe rien. Seulement les liquidités sont déversées par milliards d’euros par les banques centrales, conduisant à entretenir celle bulle financière... La Bourse de Paris a débuté en hausse jeudi (+0,24%), poursuivant sa course dans le vert en attendant une réunion de la BCE, au lendemain d’une séance dynamisée par des annonces sur un potentiel traitement contre le coronavirus.
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La tendance devrait s’inverser quand les indicateurs de la vie réelle, taux de chômage, nombre de faillites, etc. seront publiés.
A 09H36 , l’indice CAC 40 prenait 11,22 points à 4.682,33 points.La veille, il avait fini en hausse de 2,22%. "Les Bourses sont emballées par" le traitement du laboratoire américain Gilead. "Il faudra des confirmations supplémentaires cependant et cet antiviral ne fera pas disparaître le coronavirus. Mais les marchés, tenus à bout de bras par lesbanques centrales, sont clairement dans l’idée de retenir les bonnes nouvelles et de ne pas s’offusquer des mauvaises, notamment macroéconomiques", a estimé Tangi Le Liboux, un stratégiste du courtier Aurel BGC. L’annonce de résultats encourageants par la biotech Gilead Sciences contre la pandémie qui a déjà fait au moins 224.402 morts, et ce même si des experts préviennent que les résultats intégraux n’ont pas encore été publiés, tout comme la détermination affichée par la Fed, ont largement alimenté l’optimisme mercredi sur les marchés.
La banque centrale américaine a promis mercredi, à l’issue d’une réunion de deux jours, de faire tout ce qu’elle pourrait pour sauver l’économie américaine, appelée à plonger dans les mois à venir, mettant fin à plus d’une décennie de croissance. Aujourd’hui, c’est "la BCE qui est le rendez-vousle plus important de la journée. L’institution francfortoise ne devrait pas toucher aux taux directeurs, mais certains observateurs espèrent de nouvelles mesures afin de contrecarrer les hésitations des dirigeants européens sur le plan de relance", a ajouté M. Le Liboux.
Après sa série de mesures exceptionnelles face à la pandémie de coronavirus, l’institution devrait se dire prête jeudi à aller plus loin, tout en exhortant les gouvernements à trouver une réponse commune. L’agenda des indicateurs est très fourni. En Chine, l’activité manufacturière s’est tassée en avril après un rebond surprise le mois précédent.
Le PIB de la France s’est contracté de 5,8% au premier trimestre en raison du confinement. Celui de la zone euro est également attendu, tout comme l’inflation européenne ainsi que les demandes hebdomadaires d’allocations chômage aux États-Unis.
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
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