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Les bénéfices des majors pétrolières ont été révélés cette semaine et montrent une envolée sans précédent des profits dans un contexte économique pourtant très difficile. Détails...
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Cette semaine, les bénéfices des majors pétrolières ont été révélés par Bloomberg, le spécialiste de l’information économique et financière, et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette publication va faire du bruit !
Alors que la conjoncture économique mondiale est particulièrement morose en ce moment, notamment sous la pression de la crise de la dette en Europe, les majors pétrolières ont enregistré des bénéfices records en 2011.
Au total, les 50 premiers groupes pétroliers mondiaux ont engrangé un résultat net annuel de près de 340 milliards de dollars, soit une hausse de 44 % en seulement un an !
Dans le détail, les bénéfices ont augmenté de 35 % chez ExxonMobil, de 41 % chez Chevron, de 54 % chez Shell et de 22 % chez Total.
Ces chiffres colossaux s’expliquent notamment par la très forte hausse du prix du baril au cours de l’année.
En effet, le baril de brent de la mer du Nord a par exemple prit 40 % de valeur en seulement un an pour s’établir à 111 dollars en moyenne.
Des prix qui ne risquent pas de retomber pour le moment, ou du moins pas en raison d’une augmentation de la production puisqu’en moyenne les sociétés pétrolières ont enregistré une baisse de leur production en 2011.
Shell et Chevron ont par exemple vu leur production reculer de 3 %, 8 % pour l’américain ConocoPhillips et 10 % pour BP. Exxonmobil tire une fois de plus son épingle du jeu avec une production en hausse d’1 %, tout comme Petrobas (+1,5 %) et Petrochina (+5 %).
De plus, les majors subissent le contrecoup de leurs contrats de partage qui prévoient qu’une partie du volume de [a[pétrole]a] extrait soit reversé aux pays hôtes lorsque les prix augmentent. Des entreprises comme BP sont exposées à hauteur de 50 % à ce type de contrat quand Exxonmobil plafonne à peine à 20 %.
Avec une demande en hausse chaque année (+0,9 % prévu en 2012) et une production qui diminue, les prix devraient encore grimper l’année prochaine.
Cette année, la production totale était de 88,45 millions de barils alors que la consommation s’élevait à 88,97 millions. Il a donc fallu puiser dans des stocks qui sont loin d’être inépuisables.
L’espoir repose maintenant sur les découvertes en Arctique, le [a[pétrole]a] de schiste ou les gisements pré-salifères en Afrique.
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