
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
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La Bourse de Paris a cédé à la panique lundi dans le sillage des marchés asiatiques, perdant plus de 8% en séance avant de se reprendre en fin de journée, sur fond d’inquiétudes pour la croissance mondiale.
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L’indice CAC 40 a perdu 247,53 points à 4.383,46 points pour clôturer en baisse de 5,35%, dansun volume d’échanges exceptionnel de 10,4 milliards d’euros. Vendredi, les craintes pour la croissance chinoise avaient déjà causé une chute de 3,19% du marché parisien.
La violence du mouvement rappelle les pires heures boursières de 2008, provoquées notamment par la faillite de labanque d’affaires américaine Lehman Brothers.
"C’est le bain de sang", commente Xavier de Villepion, un vendeur d’actions chez HPC, qui estime que "la vitesse du repli des marchés actions est considérable".
La journée avait mal commencé pour l’indice parisien qui n’a pas réussi à enrayer la déroute provoquée par un violent effondrement des marchés asiatiques dans la matinée.
Les craintes au sujet de la fragilité de l’économie chinoise et ses conséquences sur la croissance mondiale ont donné le ton. La Bourse de Shanghaï a notamment clôturé surun plongeon de 8,5%.
Le CAC 40 a même temporairement effacé les gains enregistrés depuis le début de l’année.
Après un démarrage bousculé à Wall Street, l’indice parisien est allé jusqu’à perdre plus de 8% au cours de la séance, un mouvement d’une brutalité pouvants’apparenter à un "krach", indique Mikaël Jacoby, responsable du courtage Europe continentale d’Oddo Securities.
"La baisse appelle la baisse, c’est le phénomène +boule de neige+ que l’on connaît dans les phases de mini-krach", confirme M. de Villepion.
Du côté des actions, les valeurs industrielles, en première ligne du fait des craintes sur la croissance, ont plongé, à l’image de Renault , PSA Peugeot Citroën (-5,82% à 14,56 euros), ArcelorMittal (-9,48% à 6,67 euros) et Alcatel-Lucent (-6,78% à 2,77 euros).
Les poids lourds de la cote n’ont pas été épargnés, à l’instar de Sanofi (-5,23% à 83,64 euros) et Total (-7,90% à 37,84 euros), alors que le baril de brut américain est passé vendredi sous les 40 dollars pour la première fois en six ans.
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