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La Monnaie de Paris lance une nouvelle série de pièces de monnaie entre 5 et 500 euros. Décryptage...
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La Monnaie de Paris vient de mettre en vente une nouvelle série de pièces de monnaie à collectionner sur le thème des "valeurs de la République".
Quatre nouvelles pièces sont désormais disponibles :
– une pièce de 5 euros en argent,
– une pièce de 25 euros en argent,
– une pièce de 250 euros en or,
– une pièce de 500 euros en or.
La société espère tirer profit de la rareté de ces pièces dont le tirage sera limité (de 2 millions d’exemplaires pour les pièces de 5 euros à 25.000 pour celle de 500 euros), pour attirer les collectionneurs et les spéculateurs.
L’achat de pièce de monnaie dans un but spéculatif est souvent un chemin parsemé d’embûches et cette nouvelle collection de la Monnaie de Paris ne devrait pas y échapper.
"Avec la crise, la demande se raréfie, car les vrais collectionneurs ont du mal à suivre. Ce qui rend les perspectives de plus-values très aléatoires", explique ainsi Laurent Schmitt patron de la Compagnie générale de [a[Bourse]a].
Autre solution, miser sur une montée des cours de l’or ou de l’argent pour effectuer une plus-value. Une possibilité tout simplement irréaliste puisque le poids en or ou en argent des pièces est très inférieur à leur valeur faciale. Par exemple, au cours actuel de l’argent, la pièce de 5 euros ne vaut que 1,38 euros en argent, il faudrait donc que le cours soit multiplié par plus de 3,6 pour espérer une plus-value.
En revanche, l’avantage de cet [a[investissement]a] dans un but spéculatif, c’est qu’il ne présente aucun risque de moins-value, puisque la valeur des pièces ne pourra jamais descendre en dessous de sa valeur faciale.
Malgré tout, la revente pourrait s’avérer compliquée car ni la Banque de France ni la Monnaie de Paris ne se sont engagés à la reprise de ces pièces.
"En théorie, elles peuvent être utilisées pour régler n’importe quelle transaction. Mais en pratique, c’est plus compliqué", indique Laurent Schmitt.
"Les commerçants ne sont pas forcément familiers de ces pièces. Il arrive même que certaines agences bancaires refusent de les reprendre", ajoute-t-il.
Il faudra donc s’armer de patience et trouver un collectionneur susceptible d’être intéressé pour espérer le moindre gain. Une entreprise longue et périlleuse et qui n’en vaut peut-être pas la chandelle.
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