
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
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Taux d’intérêts négatifs, prix du baril de pétrole orienté à la hausse comme à la baisse par de la pure spéculation, plus de la moitié des transactions boursières gérées entièrement par des programmes de trading automatique, start-ups sur-valorisées, la fable du Brexit... Le jour où le bons sens sera de retour dans ce petit monde de la finance, la valeur n’aura plus le même prix.
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Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 3.60 % en 2024, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque.
Cela ne date pas d’aujourd’hui, les marchés financiers sont irrationnels depuis bien longtemps. Ils ont laissé de côté une grande partie de leur bon sens. Néanmoins, force est de constater que ces derniers temps, aussi bien du côté des particuliers, que des professionnels, le grand n’importe quoi l’emporte haut la main.
– des taux d’intérêts négatifs
Vous auriez imaginé que des taux d’intérêts puissent être négatifs ? De nombreux programmes informatiques de finance n’ont pas été conçus avec cette hypothèse. Des modifications sont effectuées encore tous les jours... Pour ne pas prendre de mauvaises décisions.
Pour les particuliers, certains emprunteurs à taux variable, vont percevoir des intérêts versés par leurs banques. Car, oui, les taux sont négatifs, c’est à la banque de payer des intérêts à ses clients emprunteurs. Non, vous ne rêvez pas, mais vous avez la tête à l’envers.
– Les particuliers investissent de plus en plus sur les placements à risques...
Si les particuliers restent toujours aussi prudents sur les investissements en titres vifs (actions, titres), ils se mettent plus largement à investir en unités de compte via leurs assurances-vie. Les chiffres le montrent. Et pourtant...
C’est sans conteste la plus mauvaise période pour le faire, puisque les marchés financiers sont orientés à la baisse depuis le début de l’année. Il faudrait attendre une inversion de tendance pour tenter d’engranger des plus-values, mais cette logique n’est pas la leur. Un seul mot d’ordre : aller chercher du rendement...
Comme si obtenir 2% de rendement net, inflation déduite était une performance minable. Ces investisseurs du dimanche obtenaient moins de rendement avec leur livret A à 4% d’intérêt, alors que l’inflation affichait 3.50%, mais passons...
– Des professionnels en pleine déroute...
Les banques semblent avoir partiellement assimilé la leçon de la crise de 2008. Les activités de trading pour compte propre sont en totale déconfiture. Les programmes de trading automatiques ayant relégués les traders les moins vertueux aux tâches d’analyses de risques de marché. Mais voilà, le trading haute fréquence est déjà dépassé, car trop répandu. Les bénéfices des sociétés financières fondent comme neige au soleil, un juste retour des choses.
– Des mouvements de panique organisés...
Entretenir la peur, visiblement de nombreux acteurs y ont intérêt. Ainsi, différents sujets totalement ahurissants, entretiennent ce sentiment de craintes sur les marchés financiers, entraînant une volatilité totalement artificielle.
– Le Brexit ? Une fable pour investisseurs naïfs
La sortie du Royaume-Uni de l’UE est juste une tentative politique. Qui a vraiment peur de la sortie du Royaume-Uni de l’UE ? Ce seront les Anglais les plus grand perdants. De la pure politique.
– Le prix du baril de pétrole, le prix de la politique
Le prix du baril de pétrole n’est pas corrélé au mode réel, il s’agit d’un prix purement spéculatif. L’OPEP a souhaité torpillé les USA, devenu 1er producteur mondial de pétrole, mais a échoué. Depuis, les pays producteurs, dont certains du Moyen-Orient souffrent à leur tour. Mais la guerre des prix n’est pas terminée, car dès le retour du prix du baril à 50$, les USA reprendront largement le dessus. Au final, ce sont les consommateurs du monde entier qui vont subit ces fluctuations.
Et ce n’est pas fini. Les banques centrales se livrent une bataille pour influer sur le marché des changes, à coup de réunion, de compte-rendu de réunions. Alors que leur impact sur l’économie n’est pas montrée, tous les investisseurs sont attentifs au moindre mot prononcé par une Yellen ou un Draghi, bref, un grand spectacle ridicule... Le seul avantage de marcher sur la tête reste sans doute, qu’en attendant, nous avons les jambes en l’air...
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