
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
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Les États-Unis sont devenus le premier producteur d’or noir au monde pour la première fois depuis 1975 grâce au pétrole de schiste, dépassant ainsi l’Arabie saoudite et la Russie, selon le géant pétrolier BP.
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L’offre mondiale de pétrole, qui a augmenté de 2,1 millions de barils par jour (mbj) en 2014, a connu une croissance jamais vue, a souligné le groupe britannique dans sa 64e revue statistique sur l’énergie mondiale publiée ce mercredi.
L’augmentation de l’offre mondiale a été largement portée par les États-Unis, dont la production a grimpé de 1,6 mbj en 2014, "de loin la plus forte croissance au monde".
C’est la première fois qu’un pays augmente sa production de plus de 1 mbj sur trois années consécutives, a noté le rapport.
D’après la revue statistique, "les États-Unis ont dépassé à la fois l’Arabie saoudite et la Russie en tant que premier producteur mondial de pétrole pour la première fois depuis 1975," a indiqué Bob Dudley, le directeur général de BP.
"Les implications de la révolution du schiste américain sont profondes", a-t-il insisté.
Les États-Unis ont ainsi considérablement réduit leurs importations de pétrole. "Les importations américaines de pétrole en 2014 ont atteint moins de la moitié de leur plus haut niveau de 2005". Et les États-Unis ont cédé leur place de premier importateur de pétrole mondial à la Chine.
La revue statistique a par ailleurs noté des faiblesses du côté de la demande de pétrole mondiale, pointant du doigt l’essoufflement économique de la Chine, la deuxième économie mondiale après les États-Unis.
"La consommation de pétrole mondiale a grimpé de 800.000 barils par jour en 2014 ou 0,8%, soit un peu moins que les moyennes historiques récentes et beaucoup moins que la hausse de 1,4 mbj connue en 2013", a noté BP.
Le ralentissement de l’économie chinoise s’est traduit par une décélération des investissements dans l’immobilier et de la production industrielle.
"Par conséquent, la croissance dans les secteurs chinois les plus gourmands en énergie, comme l’industrie de l’acier, du fer et du ciment - des secteurs qui ont prospéré pendant l’industrialisation rapide du pays - s’est effondrée en 2014 alors que le secteur des services arrive sur le devant de la scène", a-t-on expliqué chez BP.
La demande chinoise d’énergie a ainsi baissé fortement en 2014, augmentant de 2,6% soit moins que le taux de croissance moyen de ces dix dernières années (6,6%).
La faiblesse de la demande en énergie n’est pas seulement un problème chinois, soulignait toutefois BP. "La consommation énergétique a augmenté plus lentement que la moyenne dans toutes les régions du monde, à l’exception de l’Amérique du nord (+0,9%) et l’Afrique (+2,8%), avec une chute notable de la demande européenne de 3,9%", a expliqué le géant pétrolier.
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