
Profil-type de l’investisseur particulier en bourse
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La Bourse de Paris a fini en très légère baisse (-0,10%) jeudi, au terme d’une séance sans grand relief, une pause qui s’explique notamment par de nouvelles inquiétudes sur l’enlisement des négociations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis.
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L’indice CAC 40 a perdu 6,01 points à 5.901,08 points dans un volume d’échanges faible de 2,7 milliards d’euros. Mercredi, il s’était replié de 0,21%. "On est dans des volumes assez ternes, c’est une phase d’attente", a relevé auprès de l’AFP Mikaël Jacoby, responsable du courtage Europe continentale à Oddo BHF Securities. Le CAC 40 a dépassé mardi les 5.900 points et navigue dans des niveaux qu’il n’avait plus atteint depuis fin juillet 2007. La guerre commerciale et ses rebondissements perpétuels continuent d’être au coeur des préoccupations des investisseurs.
Plein d’espoirs pendant plusieurs semaines à ce sujet, les investisseurs ont été déçus par les nombreux points de friction qui demeurent dans les négociations entre les deux pays. Le principal désaccord concerne la levée des surtaxes douanières, préalable incontournable pour la Chine afin de signer un accord. Or, pour l’heure, Donald Trump n’a pas donné de garantie sur le sujet. "Il n’y a rien de nouveau tendant vers une solution sur ce serpent de mer sino-américain. On voit mal comment atteindre encore plus des sommets sans nouvelle un peu plus consistante sur ce sujet", prédit M. Jacoby.
Les interventions de DonaldTrump sont comme toujours particulièrement surveillées et les investisseurs attendent ses prochains commentaires concernant un éventuel report de taxes sur sur les importations du secteur automobile. Côté indicateurs, la journée a été marquée par la publication de la croissance allemande qui échappe d’un cheveu à la récession technique avec une hausse de 0,1% de son produit intérieur brut au troisième trimestre.
La Chine a dévoilé jeudi une série d’indicateurs moroses pour le mois d’octobre : la production industrielle comme les ventes de détail ont ralenti, tandis que l’investissement tombait au plus bas depuis au moins 21 ans. La croissance en zone euro s’est quant à elle élevée à 1,2%, légèrement meilleure que le 1,1%attendu.
En France, la hausse des prix à la consommation a finalement ralenti en octobre, à 0,8% sur un an, en raison notamment d’une baisse des prix de l’énergie.
En matière de valeurs, quelques titres tiraient leur épingle du jeu comme Bouygues quiprofite du redressement de son bénéfice net au troisième trimestre et de la confirmation de son objectif d’améliorer sa rentabilité sur toute l’année.
EDF a gagné 0,92% à 9,21 euros, fort d’un chiffre d’affaires en hausse de 3,4% sur les neuf premiers mois de l’année, porté par les activités de production et commercialisation en France et ce malgré l’abaissement de ses perspectives de production nucléaire pour 2019.
En queue du SBF 120, CGG souffrait (-5,14% à 2,31 euros) d’un abaissement de sa recommandation à "neutre" contre "surperformer" auparavant par Exane BNP.
ArcelorMittal prenait de son côté la place de lanterne rouge du CAC 40, en baisse de 2,79% à 14,78 euros. Le groupe européen devra continuer de gérer le site sidérurgique d’Ilva à Tarente (sud) jusqu’en mai 2020, quand la justice italienne se prononcera sur sa demande d’annulation de son rachat.
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