
Bitcoin : les ventes à découvert (short) en forte hausse depuis le début du crash des cryptos
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La Bourse de Paris a terminé en très légère hausse jeudi (+0,13%) à l’issue d’une séance où elle s’est laissée gagner par l’incertitude, s’interrogeant sur le rythme du relèvement des taux d’intérêt par la banque centrale américaine (Fed).

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L’indice CAC 40 a gagné 7,06 points à 5.309,23 points, dans unvolume d’échanges nourri de 5,04 milliards d’euros. La veille, il avait fini en légère hausse de 0,23%.
La cote parisienne a navigué dans le rouge pendant quasiment toute la séance, mais a regagné un peu de terrain quelques minutes avant la clôture du marché.
Au cours d’une séance riche en résultats d’entreprises, "c’est la macroéconomie qui a pesé sur le marché", a expliqué à l’AFP Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Mirabaud France.
En effet, "le message de la Fed hier ajoute une dose d’incertitude" chez les investisseurs, "malgrédes publications d’entreprises majoritairement soit en ligne , soit au-dessus des attentes en Europe" depuis le début de la saison, a-il poursuivi.
La majorité des participants à la dernière réunion monétaire de la Fed ont averti que la croissance économique plus forte aux Etats-Unis allait peut-être nécessiter davantage de hausses de taux d’intérêt qu’initialement prévu, selon un compte-rendu mercredi.
La Banque centrale européenne (BCE) a à son tour publié le compte-rendu de sa réunion de politique monétaire, mais cette publication n’a pas eu d’incidences sur la tenue de la séance.
L’agenda des indicateurs était par ailleurs plutôt chargé, mais ceux-ci "n’ont pas tellement pesé" sur la tendance, a encore estimé M. Rozier.
Le climat des affaires en France a encore légèrement fléchi en février, comme enjanvier, tandis que les prix à la consommation ont augmenté de 1,3% en janvier sur un an, soutenus par l’accélération de la hausse des prix des services et de l’énergie.
La croissance économique au Royaume-Uni a été révisée en légère baisse à 1,7% en 2017, soit un coup de frein par rapport au 1,9% de 2016 sur fond de Brexit, selon une deuxième estimation officielle.
Le moral des entrepreneurs allemands a reculé plus qu’attendu en février pour s’établir à 115,4 points, avec un repli marqué des attentes pour les prochains mois, selon le baromètre Ifo.
Enfin, les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis sont pour leur part retombées de façon inattendue à un niveau proche de leur plancher en 45 ans, selon le département du Travail.
– Technicolor dégringole -
Côté valeurs, Technicolor a dévissé de 28,93% à 2,08 euros, plombé par une perte nette multipliée par plus de six en 2017 et une nouvelle réduction de ses objectifs 2020 à l’issue d’une année "particulièrement difficile".
Ingenico a plongé de 16,29% à 77,00 euros, en dépit d’un bénéfice net en hausse de 5% pour 2017, plusieurs analystes pointant des objectifs 2018 décevants.
Vallourec a reculé de 11,58% à 4,37 euros. Le groupe a publié une perte nette réduite à 537 millions d’euros en 2017, contre 758 millions un an auparavant, pour un chiffre d’affaires en hausse de 26,5% à 3,75 milliards d’euros.
Fnac Darty s’est replié de 4,42% à 91,90 euros malgré la confirmation de ses objectifs à moyen terme. Le groupe a dégagé en 2017 un bénéfice net de 37 millions d’euros et un chiffre d’affaires à 7,4 milliards d’euros, en progressionde 38% sur un an.
Arkema a pris 3,63% à 107,05 euros dopé par un bénéfice net de 576 millions d’euros pour 2017, en hausse de 34,9%, soutenu par la progression des ventes dans les trois pôles d’activité.
Veolia Environnement s’est apprécié de 2,12% à 19,97 euros, fort d’un bénéfice net pour 2017 de 401,6 millions d’euros, en hausse de 4,8%, tiré notamment par ses activités à l’international.
TechnipFMC a progressé de 4,68% à 30,45 euros. Le bénéfice net a plongé de 70% l’année dernière et le groupe a même accusé une perte au quatrième trimestre, pénalisé notamment par différentes charges.
CNP Assurances a gagné 1,51% à 20,16 euros, profitant d’une nette progression de son bénéfice net en 2017, compensant un déclin de ses revenus français par une activité florissante en Amérique du Sud.
Bouygues a grignoté 0,21% à 43,22 euros, après l’annonce d’un bénéfice net de 1,08 milliard d’euros en 2017, en hausse de 48% et meilleur qu’attendu par les analystes, pour un chiffre d’affaires en progression de 4% à 32,9 milliards.
Axa s’est adjugé 0,63% à 25,61 euros après avoir dévoilé un bénéfice net en hausse de 7% sur un an pour 2017, principalement porté par la bonne tenue de ses activités d’assurance santé et dans une moindre mesure de celles de prévoyance.
Scor a lâché 3,04% à 34,72 euros, affecté par un bénéfice net divisé par plus de deux en 2017, sous l’effet notamment de plusieurs catastrophes naturelles de grande ampleur survenues au cours du deuxième semestre.
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