
Bitcoin : les ventes à découvert (short) en forte hausse depuis le début du crash des cryptos
Alors que la plupart des spéculateurs ont encore des positions de long terme sur le bitcoin, les ventes à découvert sur la reine des cryptos (...)
La Bourse de Paris lâchait du lest (-0,36%) vendredi matin, les investisseurs redoublant de prudence avant le premier tour de l’élection présidentielle française dimanche alors que l’issue du scrutin reste toujours aussi incertaine.

Publié le par à 0 h 0
La mutuelle d’épargne GARANCE propose des offres de bienvenue exceptionnelles pour les nouvelles souscriptions en assurance vie sur Garance Epargne (jusqu’à 2.500€ offerts !), ou en PER via le PER Sérénité ou le plébiscité PER Vivacité (jusqu’à 750€ offerts). Les primes en euros sont soumises à conditions de versements en montant (cumulables sur toute la période des offres), sans imposition de répartition supplémentaire sur des unités de compte. Offres applicables jusqu’au 31 décembre 2025.
A 09H30 , l’indice CAC 40 lâchait 18,06 points à 5.059,85 points. La veille, il avait fini en forte hausse de 1,48%.
"En cette dernière séance avant le premier tour de l’élection présidentielle française, qui est également une séance d’échéances mensuelles (sur les contrats à terme), les marchés européens devraient faire preuve de prudence", malgré la bonne performance de l’indice parisien jeudi, ont estimé dans une note les stratégistes du courtier Aurel BGC.
"A la suite de l’attaque sur les Champs-Elysées (jeudi) soir, dont l’impact sur l’opinion ne doit pas être surestimé (mais pas négligé non plus), les prises d’initiatives devraient être limitées sur les marchés", ont-ils ajouté.
Pour Michael Hewson, un analyste de CMC Markets, cette fusillade à Paris, au cours de laquelle un policier a été tué, pourrait, étant donné le resserrement des sondages, influencer le vote en faveur des candidats les plus extrêmes.
"On observe bien sûr une certaine fébrilité de la part des investisseurs à propos de l’élection présidentielle mais pas de panique pour le moment", a toutefois tempéré dans une note Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
"Le tassement des sondages, normal en cette période, laisse augurer toujours un second tour opposant Marine Le Pen à Emmanuel Macron mais il n’est pas exclu que François Fillon fasse une percée surprise" et "la question qui se poserait alors serait de savoir si cette éventuelleremontée se ferait au détriment de la candidate du Front National ou du candidat d’En Marche", a-t-il complété.
– Indices PMI -
L’agenda macroéconomique était par ailleurs assez fourni avec les indices PMI d’activité manufacturière et dans les services en zone euro et en Allemagne pour le mois d’avril, ainsi que les ventes au détail au Royaume-Uni pour le mois de mars.
L’activité du secteur privé en France a poursuivi sonexpansion en avril pour atteindre son plus haut niveau en près de six ans, les entreprises ne semblant pas affectées par les incertitudes autour de l’élection présidentielle, selon l’indice PMI publié vendredi par le cabinet Markit.
Ces mêmes indices PMI pour avril seront égalementpubliés outre-Atlantique, ainsi que les ventes de logements existants pour mars.
Par ailleurs, les ministres des Finances du G20 se réunissent ce vendredi à Washington, en marge des assemblées de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.
Sur le front des valeurs, Danone reculait de 2,18% à 62,32 euros alors que le géant de l’agroalimentaire a vu ses ventes légèrement augmenter de 0,7% au premier trimestre 2017 et a relevé son objectif annuel de bénéfice net par action (BNPA), tablant désormais sur une croissance à deux chiffres.
L’Oréal s’effritait de 0,69% à 180,50 euros après que le groupe a renoncé à proposer de diviser par deux la valeur nominale de ses actions, en raison d’éventuelles "conséquences fiscales négatives" pour ses actionnaires, a déclaré jeudi son PDG Jean-Paul Agon.
AccorHotelslimitait ses pertes (-0,06% à 39,53 euros) après avoir publié jeudi un chiffre d’affaires divisé par près de trois à 425 millions d’euros au premier trimestre mais en hausse de 35% en données pro forma. Le groupe s’est dit confiant pour 2017.
Michelin prenait à l’inverse 1,19% à114,60 euros après avoir enregistré une hausse de 9,9% de ses ventes au premier trimestre et confirmé ses objectifs annuels.
Compagnie des Alpes grimpait de 0,70% à 21,58 euros, profitant d’une augmentation de 3,7% de son chiffre d’affaires au premier semestre, grâce à la bonne tenuede ses diverses activités malgré un effet calendaire défavorable.
Somfy s’appréciait de 3,21% à 418,00 euros, bénéficiant de l’annonce de ventes en forte hausse au premier trimestre, grâce à des "performances soutenues" sur ses principaux métiers et marchés, et bénéficiant également d’un relèvement de recommandation à "acheter" contre "conserver" auparavant par Société Générale.
Aufeminin reculait en revanche de 3,28% à 28,90 euros après que l’éditeur de sites internet a subi un recul de 42% de son bénéfice net au premier trimestre, mais connu unehausse de 8% de son chiffre d’affaires.
Groupe LDLC plongeait de 4,47% à 28,61 euros. Le distributeur en ligne de produits de haute technologie, a annoncé jeudi vouloir accélérer ses ouvertures de magasins "en dur", après avoir constaté un tassement de ses ventes depuis le début del’année.
jra/ef/ggy


Alors que la plupart des spéculateurs ont encore des positions de long terme sur le bitcoin, les ventes à découvert sur la reine des cryptos (...)

Plum suit la tendance, pour ne pas dire la mode, et propose désormais les 19 ETF les plus populaires : de l’IA au gaming, en passant par la (...)

La baisse du cours du bitcoin en dollars n’a rien de réellement inquiétante pour le moment. La zone des 90.000$ étant encore une zone d’achat (...)

Trade Republic annonce ce jour une nouvelle brique de son offre crypto : le Crypto Wallet.

NamR (FR0014003J32) annonce l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire, le 12 novembre 2025 avec période d’observation de six mois.

Le moment est opportun pour les grandes sociétés américaines de lancer des émissions obligataires, les conditions de marché sont idéales. La (...)