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La Bourse de Paris a fini en net recul (-1,12%) lundi, lestée par une chute des valeurs technologiques américaines qui s’est répercutée sur les marchés européens.
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L’indice CAC 40 a cédé 59,12 points à 5.240,59 points dans un volume d’échanges moyen de 3,5 milliards d’euros. Vendredi, l’indice avait fini sur un rebond de 0,67%.
Après une ouverture en léger reflux, la cote parisienne a accentué son recul, les investisseurs privilégiant la prudence après un crash éclair des valeurs phares du secteur technologique à Wall Street vendredi, qui a fait sentir ses effets sur toutes places financières.
"Il y a clairement une craintes sur les valeurs technologiques. Le mouvement a commencé vendredi aux États-Unis avant de migrer sur l’Europe lundi", a observé auprès de l’AFP Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
"La part des valeurs technologiques n’est pourtant pas dominante sur le marché français, mais le poids significatif des acteurs américains dans l’économie mondiale, qui directement et indirectement touchent beaucoup de monde, génère de la prudence bien au-delà du secteur", a-t-il développé.
"La question politique britannique pèse aussi un peu", car alorsque certains investisseurs pensaient que les résultats des législatives britanniques pourraient conduire à une position plus consensuelle, "des déclarations dans la matinée du ministre en charge du Brexit, David Davis ravive le spectre d’un Brexit dur", a également estimé l’analyste.
– Questions sur la Fed -
La circonspectionétait également alimentée par l’attente d’une réunion de la Réserve fédérale américaine qui s’achèvera mercredi, pour laquelle les marchés anticipent une nouvelle hausse des taux d’intérêt, même si l’économie a donné récemment des signes d’essoufflement, surtout du côté de l’inflation.
"Cette hausse est déjà intégrée par les marchés, mais au-delà il y a encore de nombreuses questions qui se pose", a souligné M. Baradez. "Il s’agit de savoir quelle sera la trajectoire des prochaines montées de taux et les investisseurs se demandent également comment la présidente de la Fed, Janet Yellen va analyser les derniers indicateurs macroéconomiques américains mitigés", selon lui.
Les investisseurs ont également pris acte des résultats du premier tour des législatives en France, où le parti du président, La République en Marche, est arrivé nettement en tête . "Mais comme ce résultat était déjà anticipé, l’impact a été limité", a noté l’analyste.
Sur le terrain des valeurs, le secteur technologique s’est enfoncé, à l’image de STMicroelectronics (-8,88% à 13,96 euros), Atos (-4,55% à 124,80 euros) et Cap Gemini (-1,84% à 91,22 euros).
Les titres liés au secteur bancaire ont également souffert, à l’instar de Société Générale (-2,14% à 46,98 euros), BNP Paribas (-1,74% à 63,39 euros) et Crédit Agricole (-1,65% à 14,02 euros).
A l’inverse, Renault a été dynamisé (+2,25%à 86 euros) par une recommandation réitérée à "acheter" par Citi.
Sanofi a reculé de 1,50% à 84,85 euros. Le groupe pharmaceutique a démenti avoir pratiqué une politique consistant à sous-évaluer et classer des salariés pour les licencier plus facilement, comme l’en accuse lesyndicat FO.
abx/fka/gib
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