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La Bourse de Parisévoluait en forte baisse vendredi après-midi (-2,27%), déroutée par le décrochage des cours du pétrole qui affectait également le début de la séance à Wall Street.
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A 15H54 , l’indice CAC 40 perdait 105,10 points à 4.529,96 points, dans un volume d’échanges de 3,0 milliards d’euros. La veille, il avait perdu 0,05%.
Le marché parisien s’est montré hésitant en début de séance, avant de creuser ses pertes au point de perdre plus de 2%, alors que Wall Street a ouvert en nette baisse.
Pour le courtier Aurel BGC, les indices européens poursuivent "leur glissade, comme le fait d’ailleurs le pétrole et ce, dans un contexte où l’euro refuse obstinément de retrouver son biais baissier".
Jusqu’à présent, le marché reculait "sans céder au sell-off (mouvement de vente général, ndlr) qui serait, paradoxalement, une bonne nouvelle car susceptible d’indiquer une fin prochaine de la baisse", selon lui.
Les investisseurs restaient sensibles à l’évolution des prix du pétrole qui ne parviennent pas à se reprendre. Ils poursuivaient leur déclin vendredi à l’ouverture à New York, au plus bas depuis début 2009,dans un marché profondément déprimé alors que l’Agence internationale de l’Énergie (AIE) a de nouveau estimé que la production de brut allait encore augmenter l’an prochain.
Le traditionnelle "rallye" de fin d’année sur les marchés, à savoir une période soutenue de hausse attendue par les investisseurs, semblait du même coup s’éloigner.
"Cette année 2015, qui s’annonçait radieuse après l’annonce du QE (quantitative easing ou programme de rachats d’actifs, ndlr) en janvier, se finit en eau de boudin en raison de diverses menaces qui, sans être systémiques,se cumulent et viennent brider le potentiel des indices européens", note le courtier Aurel BGC.
Le marché restait également prudent avant la réunion de la Réserve fédérale américaine (Fed) la semaine prochaine, qui devrait se traduire par une hausse des taux.
Les indicateurs américains du jour ont à ce titre été contrastés. Les prix à la production se sont redressés en novembre alors que les ventes de détail ont augmenté un peu moins que prévu le même mois.
Parmi les valeurs, Eurofins chutait de 9,65% à 306,30 euros, après avoir renoncé jeudi à une augmentation de capital, via un placement accéléré d’actions nouvelles, en raison de conditions de marché "défavorables".
Renault était en très forte baisse de 6,43% à 86,78 euros. Le groupe réunit une nouvelle fois son conseil d’administration vendredi alors que les tractations entre son partenaire japonais Nissan et le gouvernement français sur l’influence renforcée de l’Etat au sein du constructeur automobile pourraient enfin connaître une percée.
Elior prenait 2,56% à 17,84 euros, après que le groupe spécialisé dans la restauration collective aannoncé avoir plus que doublé ses bénéfices au cours de son exercice 2014-2015, achevé fin septembre.
Mauna Kea gagnait 2,17% à 3,27 euros, dynamisé par l’annonce d’un partenariat pluriannuel avec Cook Medical pour la commercialisation de son produit phare, le mini-microscope Cellvizio, dans des applications urologiques.
Adocia profitait pour sa part (+1,54% à 71,89 euros) du paiement d’étape annoncé de 10 millions de dollars dans le cadre de son partenariat avec l’américain Eli Lilly, spécialiste du diabète, après le succès d’une étude pilote.
jbo/fpo/nas
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