Emeis (ex-Orpéa) : de nouveau une pépite dans quelques années ?
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La Bourse de Paris a terminé la séance en nette baisse mardi (-1,52%), fragilisée par des informations faisant état de dissensions au sein de la Banque centrale européenne (BCE), à deux jours d’une réunion de l’institution.
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L’indice CAC 40 a perdu 63,84 points à 4.130,19 points, dans un volume d’échanges soutenu de 3,7 milliards d’euros. La veille, il avait déjà reculé de 0,92%.
La cote a ouvert en légère baisse avant de connaître une petite embellie, mais les prévisions de la Commission européenne ont ramené la place dans le rouge. Paris n’a par ailleurs pas trouvé de soutien dans une ouverture en légère baisse à Wall Street.
Les marchés ont été fragilisés en fin de séance après la diffusion d’"informations selon lesquelles Draghi (président de la BCE, ndlr) serait mis en difficultés par plusieurs banquiers centraux en zone euro", explique Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
Ces rumeurs laissent entendre qu’il n’y a "pas forcément de consensus au niveau de la BCE", ce qui "pèse sur les marchés" et "pourrait créer une sorte de doute passager sur l’action de la BCE", poursuit-il.
"Le marché se crispe un peu avant la BCE", observe aussi l’analyste, alors que le conseil des gouverneurs de l’institution se réunit jeudi, avant une conférence de presse du président Mario Draghi.
Ces informations interviennent en outre dans un contexte macroéconomique morose en zone euro.
La croissance devrait être nettement moins bonne que prévu cette année et l’an prochain dans l’Union monétaire, et s’accompagner d’une inflation désespérément basse et d’un chômage élevé, selon la Commission européenne qui a publié ses prévisions économiques d’automne.
Et la France ne tiendra pas ses objectifs budgétaires l’an prochain, selon l’exécutif européen qui table sur un déficit public à 4,5% du PIB en 2015, chiffre qui va encore s’aggraver en 2016 à 4,7%, éloignant le scénario d’un retour sous les 3% l’année suivante.
Du côté des valeurs, L’Oréaln’a pas profité (-1,25% à 122,55 euros) de la confirmation de ses objectifs pour 2014 ni d’une hausse de 2% de ses ventes au troisième trimestre, les investisseurs retenant surtout le "trou d’air" dans la division des produits grand public en Europe de l’Ouest.
ArcelorMittal (-5,75% Ã 9,77 euros) a terminé à la dernière place sur l’indice CAC 40 après l’abaissement de sa recommandation à "sous performer" contre "neutre" auparavant par les analystes de la Deutsche Bank.
Les valeurs pétrolières ont également soufferts, affectées par la baisse des prix du pétrole. Total a perdu 3,75% à 44,99 euros et Technip 3,88% à 56,02 euros.
En tête de l’indice, Publicis a profité à l’inverse (+1,06% à 54,59 euros) de commentaires d’analystes positifs au lendemain de l’annonce de l’acquisition du groupe américain Sapient, spécialisé dans le marketinget la communication numériques, pour 3,7 milliards de dollars (3 milliards d’euros).
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