
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
La Bourse de Paris a fini en léger repli (-0,15%) mercredi, toujours victime des doutes aux États-Unis sur la capacité du président Donald Trump à mettre en oeuvre ses promesses économiques.
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L’indice CAC 40 a perdu 7,73 points à 4.994,70 points dans un volume d’échanges moyen de 3,4 milliards d’euros. La veille, il avait fini en recul de 0,19%.
La cote parisienne a évolué dans le rouge quasiment toute la séance, affectée par les turbulences de Wall Street qui a connu mardi sa pire séance depuis l’élection du nouveau président américain. La place française s’est néanmoins rapprochée del’équilibre en fin de séance, aidée par un léger mieux du côté des marchés américains.
"Les marchés se posent des questions sur la capacité de Donald Trump à accomplir les mesures économiques, promises pendant sa campagne et qui ont porté les indices boursiers américains àdes sommets", a observé auprès de l’AFP Andrea Tuéni, analyste de Saxo Banque.
"Les difficultés à mettre en place ses idées" sur la réforme de l’assurance-maladie américaine "soulèvent beaucoup d’interrogations sur l’aptitude de la nouvelle administration à faire passer ses mesures fiscales et de relance budgétaire", a-t-il poursuivi.
Le président américain fait face à une opposition dans ses propres rangs sur sa réforme de l’assurance-maladie destinée à abroger et remplacer "Obamacare", alors même que cette réforme est vue comme un préalable indispensable au lancement des autres projets notamment en matière économique et budgétaire.
"Ces doutes rendent les marchés plus nerveux et les investisseurs plus prudents", les valeurs bancaires "qui avaient énormément progressé grâce à l’espoir généré par ces promesses" étant logiquement les plus affectées, a-t-il ajouté.
Selon lui, "le pétrole revient aussi au coeur de l’actualité, avec des cours un peu en souffrance entre les efforts de l’Opep pour réduire la production et des stocks aux États-Unis en hausse assez forte qui contrebalancent ce mouvement".
Ceux de la semaine dernière, publié mercredi, n’ont pas fait exception, avec une montée plus forte que prévu qui les a portés à un nouveau record.
Sur le terrain des valeurs, le secteur bancaire a fini en baisse, à l’image de Crédit Agricole , Société Générale (-1,53% à 46,77 euros) et BNP Paribas (-0,41% à 60,01 euros).
Gemalto a chuté (-17,09% à 52,40 euros), pénalisé par l’abaissement de ses prévisions de bénéfice opérationnel pour l’ensemble de l’année en raison d’un repli de ses ventes. Dans son sillage, Ingenico a cédé 3,81% à 87,80 euros.
abx/fka/aro
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