
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
La Bourse de Paris a fini en baisse vendredi (-0,79%) un mois de mai obscurci par l’intensification des tensions commerciales sino-américaines et les doutes que cela génère pour la croissance mondiale.

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L’indice CAC 40 a perdu 41,28 points à 5.207,63 points, dans un volume d’échanges étoffé de 4 milliards d’euros. La veille, il avait fini sur un rebond de 0,51%.
La cote parisienne a débuté en nette baisse et a ensuite poursuivi sa plongée en territoire négatif.
Au cours de la semaine écoulée, l’indice a perdu 2,05%. Ses gains depuis le 1er janvier atteignent désormais 10,08%.
"Tous les signaux d’aversion au risque sont activés" après le nouveau front ouvert par les États-Unis en direction du Mexique "et il est difficile de voir à ce stade ce qui pourrait changer la situation", a estimé auprès de l’AFP Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
"Les investisseurs pensaient que Donald Trump concentrait ses attaques sur la Chine, ce qui pouvait profiter à d’autres pays, mais comme il tape sur tout le monde, cela risque de freiner tous les investissements", a-t-il développé.
"Face à ce message très brouillon, le réflexe de protection l’emporte parmi les investisseurs qui redoutent l’impact de ces attaques sur l’économie mondiale, alors que les dernières données macroéconomiques sont fragiles", selon lui.
A compter du 10 juin, les États-Unis vont imposer des taxes douanières supplémentaires de 5% sur les biens importés du Mexique, tant que les immigrés clandestins continueront d’affluer aux États-Unis enpassant par la frontière mexicaine, a affirmé jeudi Donald Trump.
Et la Chine a de son côté indiqué qu’elle allait créer sa propre liste noire d’entreprises étrangères "non fiables", en réplique au placement courant mai par Washington de Huawei sur une liste d’entreprises suspectes auxquelles les entités américaines ne peuvent pas vendre d’équipements technologiques.
En matière d’indicateurs, l’activité manufacturière en Chine s’est à nouveau contractée en mai, après plusieurs mois d’expansion, ce qui n’a pas été de nature à rassurer les investisseurs.
L’Italie a pour sa part enregistré une croissance de seulement 0,1% au 1er trimestre de l’année, et non pas 0,2% comme annoncé lors d’une première estimation, selon l’Institut national des statistiques .
– "Peu de secteursépargnés" -
En Allemagne, l’inflation est retombée à 1,4% en mai, tandis qu’aux États-Unis l’inflation sur un an s’est très légèrement redressée en avril.
Dans ce contexte, "peu de secteurs ont été épargnés", a observé M. Baradez
Côté valeurs, les plus exposés au conflit commercial et à ses implications économiques ont été en première ligne, à l’instar de l’automobile, des matières premières et du luxe.
Faurecia a baissé de 3,59% à 33,07 euros, Renault de 4,55% à 53,92 euros, Plastic Omnium de 1,76% à 20,60 euros. Peugeot s’est replié pour sa part de 0,65% à 19,97 euros et Michelinde 0,63% à 102,95 euros.
Le projet de fusion entre Renault et l’italo-américain Fiat Chrysler (FCA) "est une réelle opportunité pour Renault et pour l’industrie automobile française", a déclaré vendredi à l’AFP le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire, avant un conseil d’administration du constructeur au losange prévu mardi.
Côté matières premières, Eramet a chuté de 4,71% à 50,62 euros, CGG de 2,70% à 1,33 euro, Vallourec de 1,88% à 2,03 euro, TechnipFMC de 2,54% à 18,80 euros et ArcelorMittal 1,95% à 13,26 euros.
Dans le luxe, Kering a perdu 1,81% à 465,95 euros et LVMH 0,89% à 338,60 euros.
Le secteur bancaire a lui souffert de la détente des taux d’emprunts sur le marché de la dette. BNP Paribas a ainsi reculé de 1,15% à 40,88 euros, Société Générale de 0,47% à 22,46 euros et Crédit Agricole de 0,87% à10,23 euros.
Suez a pour sa part profité (+1,57% à 11,98 euros) de l’annonce d’un contrat de plus d’un milliard de livres sterling (environ 1,13 milliard d’euros) sur 7 ans pour assurer la gestion des déchets du grand Manchester.
abx/soe/az


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