Emeis (ex-Orpéa) : de nouveau une pépite dans quelques années ?
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La Bourse de Parisévoluait en recul mercredi matin (-0,74%), lestée par le repli de Wall Street la veille, la nervosité s’installant sur les marchés alors que pèsent des incertitudes sur la politique de Donald Trump.
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A 09H27 , l’indice CAC 40 cédait 37,2 points à 4.965,17 points. La veille, il avait fini en recul de 0,19%.
"Alors que les banques centrales étaient au premier plan ces dernières semaines, l’absence d’actualité du côté macroéconomique et du côté des entreprises replace la politique au coeur des marchés", commente dans une note Christopher Dembik, responsable de la recherche économique chez Saxo Banque.
Les trois principaux indices américains ont connu leur plus fort recul depuis le début de l’année mardi, les investisseurs s’inquiétant de la mise en place effective des mesures économiques prévues par le président américain Donald Trump.
En effet, ce dernier se trouve confronté à l’opposition dans ses propres rangs sur sa réforme de l’assurance-maladie destinée à abroger et remplacer "Obamacare", qui est vue comme un préalable indispensable au lancement des autres réformes économiques.
"Le nouveau Président américain semble rencontrer énormément d’obstacles sur la réforme de l’Obamacare après les échecs essuyés pour sa réforme de l’immigration", poursuit M. Dembik.
Selon lui, "les marchés se montrent donc plus nerveux, s’interrogeant sur la capacité du Président américain à tenir ses promesses", notamment ses promesses de relance budgétaire et de réforme de la fiscalité.
Du côté des indicateurs, l’agenda, relativement creux, était peu susceptible de servir de catalyseur.
En France, les crédits à la consommation au quatrième trimestre sont attendus.
Les Etats-Unis publieront les reventes de logements en février, tout comme les stocks hebdomadaires de pétrole brut.
Le Japon a de son côté déjà affiché en février un excédent commercial de 813,4 milliards de yens (6,7 milliards d’euros), au plus hauten sept ans, renouant avec un solde positif après le creux du mois de janvier.
Sur le front des valeurs, Gemalto chutait (-19,60% à 50,81 euros), pénalisé par l’abaissement de ses prévisions de bénéfice opérationnel pour l’ensemble de l’année en raison d’un repli de ses ventes. Dans son sillage, Ingenico cédait 3,90% à 87,72 euros.
Kering était mal orienté (-0,72% à 233,95 euros), sans profiter d’un accord stratégique passé entre Kering Eyewear, filiale dédiée à l’activité "lunettes" du groupe de luxe, avec le numéro deux mondial du luxe Richemont en vue de produire et de commercialiser les lunettes Cartier.
PSA reculait de 0,97% à 18,43 euros. Le groupe (Peugeot, Citroën, DS) détaille mercredi devant les syndicats son projet de regroupement des activités recherche et développement dans les Yvelines, attendu pour septembre 2018 et qui entraîne la quasi-fermeture du site de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine).
Hermès cédait 0,68% à 425,85 euros. Bien qu’ayant cumulé les records en 2016, le groupe de luxe reste en effet prudent pour 2017.
Akka Technologies baissait de 1,08% à 40,46 euros, pénalisé par un bénéfice net 2016 en repli de 48% à 16,9 millions d’euros.
Vallourec prenait à l’inverse 0,39% à 5,62 euros, soutenu par un relèvement de sa recommandation à "acheter"par Goldman.
lem/ef/mml
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