
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
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La Bourse de Paris a fini en légère baisse (-0,44%) mercredi au terme d’une séance dictée par les mouvements de Wall Street, les indicateurs du jour, pourtant nombreux, n’ayant eu que peu d’influence sur la tendance.
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L’indice CAC 40 a cédé 23,44 points pour terminer à 5.320,49 points, dans un volume d’échangesmodéré de 3,8 milliards d’euros. La veille, l’indice avait fini stable .
La cote parisienne, après une ouverture dans le rouge, y est restée jusqu’en début d’après-midi, se rapprochant ensuite de l’équilibre à la faveur du démarrage dans le vert de Wall Street, avant de repartir en baisse.
Le marché "a suivi Wall Street pas à pas ce mercredi et à mesure que les contrats à terme sur les indices américains indiquaient une ouverture en hausse, la cote parisienne est repassée dans le vert même si les mouvements sont restés d’une amplitude très modeste", a souligné auprès de l’AFP Daniel Larrouturou, directeur général délégué de Diamant bleu Gestion.
Ce rebond a toutefois été de courte durée, l’orientation en demi-teinte du marché américain au début des échanges ayant pesé sur l’indice parisien en fin de séance.
La Bourse évolue "dans des limites assez étroites avec des volumes plus faibles, ce qui est le signe d’un marché attentiste réagissant en fonction de facteurs techniques" maintenant que les banques centrales se sont exprimées, que les données macroéconomiques sont connues et que la saison des résultats touche à sa fin, a analysé M. Larrouturou.
Dans ce contexte, les indicateurs du jour, ressortis globalement en ligne, ont peu joué.
L’inflation européenne annuelle a légèrement ralenti en février à 1,2%, contre 1,3% en janvier, comme s’y attendaient les analystes.
La France a publié une croissance du produit intérieur brut de 2% en 2017, soit 0,1 point de plus que ce qui avait été préalablement annoncé.
L’Allemagne a pour sa part dévoilé son baromètre GfK, selon lequel le moral des consommateurs allemands devrait se tasser légèrement en mars, altéré par l’incertitude politique persistante.
Aux Etats-Unis, la croissance a été légèrement révisée en baisse pour le 4e trimestre, conformément aux attentes.
De son côté, l’activité économique dans la région de Chicago a ralenti son rythme de progression en février tandis que les promesses de ventes de logements aux Etats-Unis ont lourdement chuté en janvier, à la surprise des analystes.
– Réunion de la BCE le 8 mars -
Mais les investisseurs attendaient surtout d’en apprendre plus sur les intentions de la Banque centrale européenne (BCE), dont la prochaine réunion de politique monétaire a lieu le 8 mars.
Nous allons voir "comment le président de la BCE Mario Draghi adapte son discours à la nouvelle donne sur les taux mondiaux et comment il va essayer de rassurer les investisseurs européens sur le rythme de sortie de son programme de rachats d’actifs (ou +QE+ pour +quantitative easing+)", a complété M. Larrouturou.
Sur le front des valeurs, AccorHotels a perdu 1,35% à 47,50 euros après avoir annoncé la cession de 55% d’AccorInvest, son entité regroupant ses activités immobilières, pour un montant de 4,4 milliards d’euros.
BioMérieux a chuté de 10,35% à 63,20 euros, les investisseurs jugeant les prévisions du groupe pour 2018 décevantes.
Solvay a reculé de 3,54% à 113,10 euros malgré des résultats conformes à ses attentes en 2017.
Dassault Aviation a lâché 1,04% à 1.427,00 euros alors que le groupe a annoncé mercredi le lancement du Falcon 6X, un jet d’affaires à large cabine doté de moteurs Pratt&Whitney, en remplacement du 5X abandonné en décembre en raison de retards dans le développement du moteur Silvercrest de Safran.
A l’inverse, SES a fini en hausse de 4,91% à 13,13 euros, soutenu par des propos du président de la Commission américaine des communications favorables à l’utilisation des fréquences 3,7 à 4,2 GHz pour un usage commercial terrestre.
Engie a cédé 1,49% à 12,88 euros, pénalisé par l’abaissement de sa recommandation à "conserver" par HSBC.
Legrand a lui aussi été fragilisé (-0,52% à 64,54 euros) par l’abaissement de sa recommandation à "sous-pondéré" par Morgan Stanley.
jra/spe/pb
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