
La performance du MSCI World au 1er semestre 2025 reste négative à - 4.32%
Parmi les principaux actifs financiers, le MSCI World ne tire pas son épingle du jeu en ce premier semestre 2025.
La Bourse de Parisévoluait dans le rouge mardi matin (-0,25%), le marché optant pour la prudence et l’attentisme à la veille de rendez-vous majeurs.
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A 09H16 , l’indice CAC 40 reculait de 12,51 points à 4.987,09 points. La veille, il avait fini en petite hausse de 0,13%.
L’indice a ouvert au-dessus de l’équilibre avant de rapidement changer de tendance pour une journée marquée par les hésitations, alors que plusieurs événements politiques et économiques alimentent le suspense.
D’une part, les investisseurs vont hésiter à prendre des positions fermes alors que le comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine entame une réunion de deux jours.
A l’issue de cette réunion, la Fed devrait, selon la très grande majorité des analystes, annoncer une nouvelle hausse des taux, poursuivant ainsi le resserrement monétaire.
"La seule incertitude a trait au rythme d’appréciation des taux pour le reste de l’année 2017 et à la possibilité que la banque centrale décide de faire plus de trois durcissements monétaires, comme c’est initialement prévu", précise dans une note Christopher Dembik, responsable de larecherche économique chez Saxo Banque.
D’autre part, la politique s’invite une nouvelle fois sur les marchés, à la veille d’élections clef aux Pays-Bas, qui opposeront mercredi le Premier ministre néerlandais Mark Rutte au candidat anti-système et xénophobe Geert Wilders.
Ce scrutin est vu comme un baromètre de la montée de l’extrême droite en Europe en cette année d’élections à travers le continent.
Le thème politique est décidément sur le devant de la scène : outre-Manche, le Parlement a donné lundi soir son accord final à la loi de déclenchement du Brexit.
Ce vote laisse désormais les mains libres au gouvernement conservateur de Theresa May pour lancer la procédure de divorce avant la fin du mois de mars, date butoir qu’elle s’est fixée.
"Bien que les Bourses soient désormais habituées au risque politique, on peut aisément parier sur le fait que les investisseurs ne vont pas opter pour une prise de risque démesurée au cours des 48 prochaines heures", résume M. Dembik.
Du côté des indicateurs, l’agenda est riche, avec notamment aux Etats-Unis les prix à la production en février.
Les chiffres de la production industrielle en zone euro pour janvier seront également connus.
En Allemagne, l’inflation bien augmenté de 2,2% sur un an en février, dépassant le seuil symbolique des 2% pour la première fois depuis plus de quatre ans.
Le moral des investisseurs allemands s’est de son côté dégradé plus que prévu en février, sous l’effet conjugué d’indicateurs décevants et d’incertitudes liées à l’environnement géopolitique, selon le baromètre ZEW.
En France, les créations d’entreprises ont reculé de 1% en février, après avoir augmenté de 1,9% en janvier, en raison d’une forte baisse des immatriculations de micro-entrepreneurs.
Comme tous les mois, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole publiera de son côté son rapport mensuel.
Enfin, en Chine, les ventes de détail, baromètre de la consommation des ménages, se sont fortement tassées sur les deux premiers mois de l’année, tandis que la production industrielle résistait au contraire mieux qu’attendu.
Sur le front des valeurs, Rubis cédait 10,84% à 88,41 euros, sans profiter de la hausse de ses résultats en 2016, tiréspar des acquisitions notamment.
Rexel était dopé (+4,91% à 16,56 euros) par un relèvement de sa recommandation à "surpondérer" par Morgan Stanley.
Amundi reculait (-0,75% à 53,10 euros) après avoir fait part du lancement d’une augmentation de capital de 1,4 milliard d’euros, destinée à financer en partie l’acquisition de la filiale Pioneer Investments de la banque italienne UniCredit.
Engie cédait 1,62% à 12,42 euros : selon l’agence Bloomberg News, le groupe français s’intéresse à Innogy, la filiale d’énergies renouvelables du groupe allemand RWE.Interrogé par l’AFP, le groupe n’a fait aucun commentaire.
Interparfums progressait (+1,06% à 28,60 euros), soutenu par un bénéfice net de 32,4 millions d’euros en 2016, en hausse de 11%.
Archos reculait (-0,79% à 1,25 euros) après avoir creusé ses pertes de 1,4 millionsd’euros à 3,4 millions en 2016.
Direct Energie s’appréciait (+1,71% à 36 euros), dopé par un résultat net multiplié par près de 5 en 2016, à 123,6 millions d’euros, grâce à une forte progression du portefeuille client et à une hausse des volumes d’électricité vendus.
Akka Technologies gagnait à l’inverse 0,69% à 39,47 euros après avoir finalisé l’acquisition de l’allemand Gigatronik, spécialiste de l’internet des objets.
Implanet était aussi bien orienté (+2,38% à 0,86 euro) après l’annonce de l’inscription de son implant Jazz Claw dans le registre australien des produits thérapeutiques.
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