
Once d’argent à 70$, un signe fort d’une anxiété généralisée
Le franchissement du seuil des 70 dollars l’once par l’argent n’est pas un simple mouvement de prix passager ni une exagération du marché (...)
La bourse de Paris, de par sa valorisation actuelle, a dépassé celle de Londres, actuellement très décotée, et devient de fait, la première capitalisation en Europe. La belle affaire.

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Les Français adorent être les premiers et chanter leur victoire. Le coq se fait entendre, même si, le plus souvent, il n’y a pas réellement de raisons objectives de fêter un tel classement. La bourse de Paris passe devant celle de Londres, car cette dernière est fortement décotée. Cette première place est à savourer, car elle ne devrait pas être conservée bien lontemps.
L’indice FTSE250 des valeurs moyennes britanniques se négocie par conséquent avec une décote de 30% par rapport à l’indice de référence mondial MSCI World. Selon la banque d’investissement américaine Goldman Sachs, cette décote n’a jamais été aussi importante depuis l’éclatement de la bulle internet, au début des années 2000. "Nous pensons que la décote est justifiée si l’on tient compte de la faiblesse des perspectives de croissance au Royaume-Uni et du niveau de la livre", estime Sharon Bell, stratégiste chez Goldman Sachs.
Le Royaume-Uni a perdu le titre de plus grand marché boursier européen au profit de la France pour la première fois depuis des décennies. La valeur totale des actions principalement cotées à la Bourse de Londres était de 2.821 milliards de dollars lundi, contre 2.823 milliards de dollars à la Bourse de Paris. Mais en fait, c’est surtout la bourse de Londres qui a perdu sa place. La bourse de Paris bénéficie de ses valeurs du luxe, qui ne sont pas matraquées par la récession qui se profile. La sortie du Royaume-uni de l’UE a contribué à une sortie massive des positions de Londres pour les rapatriés sur Paris (licence européenne).
L’action LVMH pèse environ 360 milliards de dollars, ce qui en fait la plus grande valorisation européenne. Cette performance française a notamment été portée par le secteur du luxe, qui bénéficie de l’assouplissement de la politique zéro covid en Chine. Ce vendredi, Pékin a notamment réduit la période de quarantaine imposée aux voyageurs arrivant en Chine, et mis fin au mécanisme de "coupe-circuit", qui interrompait les vols internationaux si trop de contaminations étaient détectées dans les avions. Autant de mesures qui devraient favoriser le tourisme des Chinois, qui représentaient 35% de la clientèle mondiale de produits de luxe avant la pandémie selon Bloomberg. Résultat : un boost en Bourse de Paris pour les actions Kering et LVMH. Cette dernière, propriétaire de la marque Louis Vuitton, pèse environ 360 milliards de dollars, ce qui en fait la plus grande valorisation européenne.


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