Emeis (ex-Orpéa) : de nouveau une pépite dans quelques années ?
Emeis, spécialisée dans l’exploitation d’Ephad, a signé en 2023 un retour à meilleure fortune. Tout n’est pas réglé, mais les nuages se (...)
La Bourse de Paris a débuté le mois de mars du mauvais pied jeudi (-0,51%), la contre-performance de Wall Street la veille alimentant la prudence des investisseurs européens.
Publié le par à 0 h 0
Offre exceptionnelle Bourse Direct : 1000 euros de frais de courtage offerts pendant 3 mois, pour l’ouverture de votre compte bourse (compte-titres, PEA, PEA-PME), offre à saisir jusqu’au 29 avril 2024.
A 09H30 l’indice CAC 40 perdait 27,32 points à 5.293,17 points. La veille, il avait fini en recul de 0,44%.
"Labaisse de Wall Street affecte une nouvelle fois" les indices européens "mais sans excès", ont noté les analystes de Aurel BGC.
"Pour cette première séance du mois, il sera intéressant de voir si Wall Street parvient à reprendre de la hauteur ou confirme le regain de nervosité observé lors des deux dernières séances", ont-ils poursuivi.
Selon les experts de Mirabaud Securities Genève, "les investisseurs retiendront leur souffle avant la nouvelle intervention du président de la Fed, Jerome Powell, devant le Sénat cette fois-ci".
Très optimiste au sujet de l’économie des États-Unis, le responsable a en effet confirmé mardi à l’occasion d’une intervention devant la Chambre des représentants américaine que la Fed allait poursuivre ses hausses de taux d’intérêt graduelles, peut-être même plus rapidement qu’anticipé. Pour son témoignagesemi-annuel, il doit s’exprimer à nouveau jeudi devant le Sénat.
"Le même texte sera lu, mais c’est la séance de questions qui pourrait être intéressante", a également relevé Aurel BGC.
Du côté des indicateurs, l’agenda est également américain avec les dépenses et revenus des ménages et les dépenses de construction en janvier ainsi que les demandes hebdomadaires d’allocation chômage ou l’indice ISM d’activité dans l’industrie en février.
Avant l’ouverture des marchés européens, la Chine a toutefois publié des chiffres d’activité manufacturière en février qui ont enregistré leur plus forte croissance depuis six mois, selon l’indicateur indépendant Caixin.
En matière de valeurs, Carrefour était pénalisé (-5,96% à 17,82 euros) par une perte nette de plus de 500 millions d’euros en 2017, alors que le groupe de distribution doit "mettre en oeuvre sans délai (son) plan de transformation", selon son patron Alexandre Bompard.
Europcar plongeait de 6,91% à 10,64 euros, lesté par un bénéfice net réduit de moitié en 2017, à 61 millions d’euros.
Peugeot profitait à l’inverse (+3,98% à 19,36 euros) d’un bénéfice net "record" à 1,9 milliard d’euros pour 2017, en hausse de 11,5%, malgré le rachat d’Opel l’été dernier qui a pesé sur la rentabilité.
Teleperformance décollait de 5,38% à 123,40 euros, dynamisé par un bond de son bénéfice net de 46% en 2017, pour s’établirà 312 millions d’euros.
Essilor gagnait 1,11% à 109,05 euros alors que le numéro un mondial des verres ophtalmiques a publié des résultats annuels 2017 conformes à ses objectifs, grâce à un quatrième trimestre dynamique, et espère désormais finaliser son union avec l’italien Luxottica d’ici la fin du premier semestre 2018.
Suez perdait 0,31% à 11,29 euros après la publication d’un bénéfice net de 302 millions d’euros pour 2017, en baisse de 28,1% sur un an, notamment à la suite d’un plan de départs volontaires et, dans une moindre mesure, de l’acquisitiondu géant américain GE Water.
Direct Energie reculait de 2,92% à 35,90 euros. Le producteur et fournisseur alternatif d’électricité et de gaz Direct Energie a vu son chiffre d’affaires progresser l’an dernier mais a raté son objectif en raison d’une météo clémente.
Eiffage montait de 2,09% à 90,96 euros, bénéficiant d’un bénéfice net en hausse de 23% en 2017 à 512 millions d’euros, meilleur qu’attendu, et de la perspective de résultats "en progression" cette année.
Seb refluait de 2,68% à 163,40 euros malgré un bénéfice net part du groupe de 375 millions d’euros pour 2017, en forte hausse de 45% sur un an, soutenu par deux évènements fiscaux exceptionnels.
Bonduelle s’enfonçait de 5,84% à 33,85 euros, pénalisé par l’abaissement de son objectif annuel de rentabilité même si le groupe agroalimentaire a vu son bénéfice net augmenter de 3,3% à 37,7 millions d’euros au premier semestre de son exercice décalé 2017/2018.
abx/fka/pid
Emeis, spécialisée dans l’exploitation d’Ephad, a signé en 2023 un retour à meilleure fortune. Tout n’est pas réglé, mais les nuages se (...)
Quand faudra-t-il prendre ses bénéfices sur ces 7 magnifiques ? Tesla dans le dur, Apple moins bien...
Le marché européen des obligations à haut rendement a donné des sueurs froides aux gérants obligataires en mars dernier. Trois importants (...)
Investir sur les marchés américains, et notamment sur le MSCI World Index, via un PEA, c’est possible !
Worldline et Tabesto annoncent le lancement de la première borne de commande et de paiement tout-en-un.
Lhyfe a doublé son chiffre d’affaires annuel 2023 à 1,3 M€. Lhyfe est désormais le premier producteur d’hydrogène renouvelable du pays.