
La performance du MSCI World au 1er semestre 2025 reste négative à - 4.32%
Parmi les principaux actifs financiers, le MSCI World ne tire pas son épingle du jeu en ce premier semestre 2025.
La Bourse de Paris accélérait la cadence mardi, au point de prendre brièvement plus de 2%, rattrapant une partie du terrain perdu après cinq séances de baisse d’affilée, en attendant de connaître le verdict de la Fed sur ses taux directeurs.
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A 09H48 , l’indice CAC 40 gagnait 80,66 points, soit1,80% à 4.553,73 points. La veille, il avait perdu 1,68%, totalisant un recul de près de 9% depuis la forte déception générée par la réunion de la Banque centrale européenne du 3 décembre.
La journée verra démarrer la tant attendue réunion de la Réserve fédérale américaineappelée à se prononcer sur une remontée de ses taux directeurs quasiment à zéro depuis 2008.
Mais sa conclusion ne sera connue que mercredi soir après la fermeture des marchés européens.
"Le durcissement monétaire de la Fed est acquis. Reste seulement une question en suspens à propos de la vitesse d’appréciation des taux", a estimé Christopher Dembik, un économiste de Saxo Banque.
Et selon lui, "c’est certainement le sujet qui rythmera le plus l’année 2016 sur les marchés financiers".
"Tout porte à croire, toutefois, que ce nouveau cyclequi commencera demain n’aura rien à voir avec les précédents, notamment avec ceux débutés en 1999 et en 2004", car la Fed "aura notamment à l’esprit d’éviter l’éclatement des bulles spéculatives qui se sont formées au cours des dernières années", a-t-il complété.
Avant la réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), les marchés devraient continuer à "suivre l’évolution du prix des matières premières" ainsi que quelques statistiques, ont estimé les analystes de Aurel BGC
Les cours du pétrole étaient globalement stables mardi en Asie, après six séances consécutives de baisse qui les ont vus chuter à leur niveau le plus bas depuis près de sept ans.
Du côté des indicateurs, le baromètre ZEW de la confiance des milieux financiers en Allemagne en décembre est à l’agenda.
Aux Etats-Unis, l’inflation en novembre, l’activité industrielle dans la région de New York en décembre et les flux de capitaux investis à long terme en octobre sont au programme.
Sur le terrain des valeurs, Sanofi bondissait de 4% à 77,72 euros, grâce à l’annonce de négociations exclusives pour échanger sa division de santé animale Merial contre l’activité santé grand public du laboratoire allemand Boehringer Ingelheim.
La cession annoncée de l’activité pare-chocs de Faurecia (+6,66% à 35,21 euros) à Plastic Omnium (+4,48% à 26,38 euros) faisait décoller les titres des deux équipementiersautomobiles.
Faurecia bénéficiait en outre d’un relèvement de sa recommandation à "acheter" contre "neutre" par la Société Générale.
Les constructeurs automobile français profitaient à plein du dynamisme du marché automobile européen et de la hausse de la vente, Peugeot gagnant 2,80% à 15,76 euros et Renault 3,01% à 88,07 euros.
Le PDG de l’alliance franco-japonaise Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a par ailleurs jugé mardi que les deux constructeurs d’automobiles n’étaient "pas prêts pour une fusion", sans pour autant exclure totalement une telle possibilité à long terme.
Le secteur des matières premières profitait de l’accalmie sur les prix du pétrole, Total prenant 2,96% à 41,78 euros, ArcelorMittal 4,24% à 3,51 euros, CGG 1,75% à 2,50 euros et Maurel et Prom 1,50% à 2,70 euros.
Cette dernière a pourtant de nouveau revu à la baisse les conditions financières de son projet de fusion avec MPI, son ancienne filiale au Nigeria, en réduisant encore la parité d’échange des titres, compte tenu de la dégringolade continue des cours du brut.
Schneider Electric prenait 1,05% à 52,97 euros après l’échec de son projet d’alliance dans les logiciels industriels avec le groupe britannique Aveva, annoncé en juillet et qui était censé aboutir mi-2016, faute d’accord sur les termes de l’opération.
Compagnie des Alpes montait de 0,74% à 16,30 euros, soutenu par un bénéfice net annuel en hausse de 18%, à 30 millions d’euros, et reste prudente pour 2016 en raison "d’un contexte touristique fragilisé" par les attentats du 13 novembre.
EDF s’élevait de 2,14% à 12,87 euros alors que l’électricien ne devrait pas présenter d’offre ferme pour le rachat partiel de l’activité réacteurs d’Areva (stable à 6 euros) avant la fin de cette année, comme il le prévoyait initialement, selon une source proche du dossier.
Eiffage profitait (+2,80% à 56,94 euros) du relèvement de sa recommandation à "acheter" contre "neutre" par Goldman Sachs.
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