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Il n’est jamais trop tard pour bien faire. La BCE reconnaît l’existence d’une bulle spéculative autour de l’IA. Etonnant, non ?
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Juste avant les publications des résultats trimestriels de NVIDIA, ce mercredi 20 novembre 2024, la BCE prévient : la spéculation financière autour de l’IA serait une bulle financière. Tôt ou tard, elle devrait donc exploser.
L’existence d’une bulle spéculative n’est pas un souci, c’est quand elle éclate que les choses se compliquent !
Il n’est jamais trop tard pour bien faire. La BCE reconnaît à son tour que les valorisations des sociétés autour de l’IA sont irrationnelles. De même, le fait que les investisseurs se concentrent uniquement sur quelques sociétés, dont NVIDIA, montre qu’une bulle existe bien, autour du mieux-disant.
La BCE n’aime pas les bulles, les cryptos, l’IA...
Il existe une "bulle" sur les valeurs liées à l’intelligence artificielle (IA), qui pourrait éclater si les attentes très élevées des opérateurs sont déçues, déclare mercredi la Banque centrale européenne (BCE) dans son rapport de stabilité financière semestriel. Selon la banque centrale, les marchés actions, en particulier aux États-Unis, dépendent de plus en plus de quelques entreprises que les investisseurs jugent bien positionnées pour profiter du développement de l’IA, tel le géant des puces Nvidia qui publiera ses résultats trimestriels dans la soirée.
"La concentration autour de quelques grandes entreprises fait craindre qu’il n’existe une bulle autour des valeurs liées à l’IA. Dans un contexte de profonde intégration des marchés actions mondiaux, cela fait peser le risque d’impacts négatifs globaux, si les attentes de chiffre d’affaires pour ces entreprises sont déçues", détaille la BCE.
La BCE constate que la prime de risque sur les actions et le crédit est faible, tandis que les fonds d’investissement ont diminué leurs poches de liquidités. "La détention relativement faible d’actifs liquides et d’importants écarts de liquidités constatés dans certains fonds ouverts, auxquels s’ajoutent les faibles poches de liquidités, pourraient mener à des ventes forcées qui amplifieraient les mouvements de marché à la baisse", s’inquiète la BCE.
Parmi les autres risques financiers, la BCE juge la zone euro vulnérable à la fragmentation du commerce mondial.
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