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La Bourse de Paris a terminé en forte baisse (-3,42%) mardi, les investisseurs se laissant gagner par l’inquiétude devant les déboires du secteur automobile, dans un environnement macroéconomique incertain.

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L’indice CAC 40 a perdu 156,99 points à 4.428,51 points, dans un volume d’échanges nourri de 4,7 milliards d’euros. La veille, il avait progressé de 1,09%.
Après avoir ouvert à l’équilibre, le marché parisien n’a cessé de creuser ses pertes tout au long de la séance.
"L’ensemble du marché est tiré vers le bas" dans le sillage du secteur automobile qui pâtit partout en Europe du scandale Volkswagen, relève Andréa Tuéni, un analyste de Saxo Banque.
Les constructeurs et leurs sous-traitants ont pesé lourdement sur l’indice parisien et au-delà , après l’avertissement lancé par le constructeur allemand sur les premières conséquences financières de satricherie aux normes anti-pollution dévoilée aux Etats-Unis.
"Et comme Volkswagen est un industriel majeur et que les marchés sont nerveux depuis déjà plusieurs mois, il n’en faut pas beaucoup plus pour que l’idée d’un ralentissement économique ne se répande, notamment en Allemagne, suite à ce scandale", souligne dans une note le courtier Aurel BGC.
A cela s’ajoute "d’autres zones d’ombres", selon M. Téuni, qui cite notamment "l’incertitude" qui a résulté de la réunion de la banque centrale américaine jeudi.
La cote parisienne a été sévèrement éprouvée vendredi par les inquiétudes exprimées par la présidente de la Fed, Janet Yellen, concernant la santé économique de la planète, et plus particulièrement de la Chine, avant de réussir à relever la tête lundi. Mais le sursaut a été de courte durée tant les inquiétudes restent nombreuses à l’horizon.
Sur le terrain des valeurs, les constructeurs automobiles ont été très affectés par le scandale Volkswagen. Renault a chuté de 7,12% à 66,55 euros et Peugeot de 8,76% à 13,86 euros.
Dans leur sillage, Faurecia a lâché 8,27% à 27,57 euros, Valeo 4,64% à 112,00 euros et Michelin 3,59% à 80,12 euros.
Société Générale a reculé de 4,01% à 39,38 euros alors que la banque prévoit la suppression d’environ 420 postes, sans départs contraints, dans le cadre de son plan annoncé en août visant à réaliser 850 millions d’euros d’économies d’ici à fin 2017. Sa recommandation a également été abaissée à "neutre" contre "surpondérer" par JPMorgan.
BNP Paribas a cédé quant à elle 3,39% à 51,87 euros et Crédit Agricole 3,24% à 10,74 euros.
Par ailleurs, le finlandais Outokumpu a fait trébucher les aciéristes en indiquant s’attendre à une nouvelle détérioration de ses pertes au troisième trimestre, à cause de marchés défavorables en Europe et aux Etats-Unis. Aperam a décroché de 9,43% à 24,02 euros, ArcelorMittal de 5,92% à 5,46 euros.
Les énergéticiens ont également pesé à l’image d’EDF (-4,28% à 16,20 euros).
cc/fpo/gib


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