
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
Une crise ? Quelle crise ? Le 10e anniversaire de la French Tech balaie d’un revers de main les soucis actuels. Tout va bien, la crise est au contraire une bonne nouvelle !
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77 % des dirigeants d’entreprise considèrent qu’il est facile d’entreprendre en France. La crise est une chance pour la French Tech, finies les valorisations ubuesques, retour aux fondamentaux : la rentabilité !
La French Tech est une initiative lancée par le gouvernement français en 2013 pour soutenir et promouvoir l’écosystème des startups en France. Elle vise à encourager l’innovation et la croissance des entreprises technologiques françaises, ainsi qu’à renforcer la visibilité de la France en tant que hub technologique mondial. La French Tech, vous la connaissez... DoctoLib, BlaBlaCar, Criteo, Doctolib, Deezer, OVH, etc.
La French Tech et ses licornes a eu ses dérives. Des levées de fonds records, des valorisations ubuesques. Le but d’atteindre ce seuil stupide du milliard de dollars de valorisation, ces fameuses licornes. Depuis que l’argent n’est plus "gratuit", plus personne ne parle de licornes. Et pour cause. La forte remontée des taux d’intérêts a recentré les start-ups sur l’essentiel : viser davantage la rentabilité que la valorisation de la société.
Les levées de fonds en 2023 devraient chuter de 30 % à 40 % par rapport à 2022. Et c’est bien ainsi ! Toutes les idées ne sont pas bonnes et durables. Avec moins de financement, la sélection sera plus aiguisée. Au premier semestre, ce ne sont que 4,2 milliards d’euros levés. D’autre part les faillites et les licenciements se multiplient. La crise actuelle est-elle passagère ? Personne ne peut le savoir. Toujours est-il que ce recentrage sur la notion de rentabilité est un vrai changement de cap pour la French Tech. Et c’est bien ainsi.
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