
Inflation en zone euro en légère hausse : +2.2% en novembre (vs 2.1% en octobre)
La légère hausse de l’inflation en zone euro devrait confirmer l’absence de baisse des taux directeurs de la BCE.
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Hier, le "Wall Street Journal" a révélé l’intention du Nasdaq de rembourser certains investisseurs pour sa gestion catastrophique de l’introduction en bourse de Facebook. Détails...

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Après une introduction mouvementée le 18 mai au Nasdaq, le titre de l’action Facebook est aujourd’hui à 25,87 $ (contre 38 $ à l’introduction) soit une baisse de 31,92 % du titre en moins de trois semaines.
Un échec cuisant subit par le leader mondial des réseaux sociaux mais qui ne peut pas être imputé uniquement à la survalorisation des actions, mais aussi par une gestion catastrophique lors du lancement de l’action à Wall Street par l’opérateur de Bourse électronique Nasdaq, Nasdaq OMX Group.
Depuis ce lancement raté, les plaintes s’accumulent de la part des investisseurs mécontents et il semble qu’ils auraient finalement été entendus puisque le Wall Street Journal rapportait mardi que la plateforme boursière électronique s’apprêtait à prendre des mesures pour indemniser les investisseurs qui ont perdu de l’argent en raison des problèmes informatiques lors de l’introduction.
Ce jour là, les ordres de vente et d’achat sur le fameuc titre "FB" ont enregistré des retards très importants en raison de leur volume pour que le Nasdaq puisse correctement les traiter. Ce faisant, l’incertitude a plané pendant de nombreuses minutes sur des ordres portant sur des millions d’actions et donc des centaines de millions de dollars.
Une situation inadmissible pour les courtiers professionnels qui a engendré un sentiment de panique accentuant la chute du cours des actions Facebook.
Six jours après ce lancement raté, le courtier américain Knight Capital demandait au Nasdaq une réparation à hauteur de 35 millions de dollars suite à cette mauvaise gestion. Depuis, d’autres courtiers professionnels ont suivi et au moins une plainte collective à été déposée auprès des autorités américaines pour un total avoisinant les 100 millions de dollars d’après les informations du Wall Street Journal.
Une somme colossale que le Nasdaq ne devrait pas être en mesure de fournir puisque malgré sa volonté d’apaisement, il ne serait à l’heure actuelle disposer à fournir que 13 millions de dollars pour indemniser ces investisseurs en colère.


La légère hausse de l’inflation en zone euro devrait confirmer l’absence de baisse des taux directeurs de la BCE.

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