
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
Nouvelle escalade après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. L’OTAN a décidé de soutenir l’Ukraine en lui fournissant des équipements militaires, menant le conflit dans la durée. L’économie mondiale devrait en souffrir durablement, les marchés financiers seront en proie à de fortes tensions.
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Évidemment, l’intérêt de l’arme nucléaire étant de ne jamais s’en servir, il n’en reste pas moins qu’entre les mains de certains dirigeants, la crainte n’en est pas moins forte. Ce dimanche 27 février, l’autocrate russe, M. Poutine, a brandit la menace nucléaire, en cas d’action de l’OTAN en Ukraine. L’OTAN n’interviendra pas en Ukraine, ce pays ne faisant pas partie de l’Alliance. Toutefois, les USA ainsi que l’Europe soutiennent l’Ukraine et lui fourniront des armes. L’escalade dans la guerre est donc enclenchée.
Les ministres européens des Affaires étrangères se sont entendus, en accord avec les puissances du G7, pour bloquer les transactions de la Banque centrale russe, a annoncé le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell. « Plus de la moitié des réserves de la Banque centrale vont être paralysées parce qu’elles sont conservées dans des établissements des pays du G7 », a précisé Josep Borrell.
Les Etats membres de l’Union européenne ont décidé de débloquer 450 millions d’euros pour acheter des armes et les livrer aux forces armées ukrainiennes afin de les aider à résister à l’offensive russe, a annoncé le chef de la diplomatie européenne. « Un accord a été trouvé pour fournir des armements à l’armée ukrainienne pour une valeur de 450 millions et des équipements de protection et du carburant pour 50 millions. Tout cela sera couvert par notre Facilité de paix et notre fonds intergouvernemental. C’est la première fois dans l’histoire que nous allons le faire », a précisé Josep Borrell à l’issue d’une réunion en visio-conférence des ministres des Affaires étrangères de l’UE relate Les Echos.
Dans ce contexte pour le moins anxiogène, les indices boursiers sont promis à un lundi noir. Retour sur les niveaux de supports des indices pour un nouveau test, si l’enfoncement de ces derniers était effectué, un krach des marchés financiers pourrait être attendu par les investisseurs. Ces derniers recherchent massivement les placements de taux et se détournent des marchés actions. Le rebond surprenant des indices vendredi dernier n’était de toute évidence qu’un feu de paille. Les investisseurs n’étaient de fait pas dupes. La spéculation est à son paroxysme.
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