
Les ETF indiciels US désormais boudés par les investisseurs
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Comme attendu les marchés actions continuent de dévisser. Plus de 3% de baisse cette semaine, avec la remontée des taux d’intérêts des banques centrales. Rien de dramatique après 9 semaines de hausse, du mois, pour le moment...
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Les banques centrales ont souhaité calmer l’ambiance. La récente formation de bulle sur les marchés actions commençaient à agacer, alors que la hausse des taux d’intérêt est loin d’être finie. Les spéculations concernant la fin de la hausse des taux ont été douchées par les banquiers centraux. Si la volonté est de ramener l’inflation à 2%, la tâche reste rude. Quitte à provoquer un récession, temporaire selon les banques centrales. Mais malheureusement, l’on connait désormais les capacités d’estimation du mode temporaire des choses. Pourquoi ces dernières ne se planteraient-elles pas à nouveau sur le côté temporaire de la récession à venir ? Si le marché de l’immobilier décale à la baisse, la situation pourrait rapidement s’envenimer. Personne ne connaît véritablement le taux le plus élevé applicable par les banques centrales, 5% aux USA, 3% en Europe ? Personne ne le sait. Pas même les banquiers centraux. Alors les estimations de chacun... Ne valent rien.
Comme attendu, le CAC40, sous l’effet de forts volumes (séance des 4 sorcières), la baisse de ce vendredi est relativement faible (-1.02%). Avec la remontée des taux d’intérêts, les valeurs bancaires sont en hausse (BNP Paribas, Crédit Agricole et Société Générale). À l’opposé les foncières cotées plongent logiquement. Ces valeurs utilisant fortement le "levier du crédit" seront à la peine, compte-tenu de la hausse des coûts de refinancement.
Depuis 2002, 4 fois par an, la journée des 4 sorcières est source de volatilité sur les marchés financiers. L’origine de ce nom tient du fait que 4 produits dérivés à échéance fixe (options sur indices, options sur actions, contrats à terme sur indices et contrats à terme sur actions) expirent simultanément de jour-là. Les contrats à terme sont également appelés contrats futures (ou futures). L’expiration de ces produits dérivés a lieu à 16 heures (heure de Paris), le 3e vendredi du mois, tous les trimestres. Ces séances, peuvent être particulièrement volatiles, du fait du débouclage des positions prises sur l’échéance de ces contrats en cours, et l’éventuellement roulement de contrat, prise de positions sur l’échéance suivante peut provoquer des mouvements de hausses ou de baisses particulièrement violents, comme si des sorcières manipulaient les cours.
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