
Obligations : la France a émis 1,22 milliard d’euros d’OAT indexées sur l’inflation
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
Les 150.000 nouveaux particuliers investisseurs français ont-ils bien fait d’acheter des actions en début d’année ? Le mieux reste encore d’investir régulièrement, par petites doses, afin de lisser ses cours d’achat à la baisse. Cette dernière pouvant encore s’accentuer...
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Vendredi 14 mai, l’indice CAC 40 a pris grassement 4,50 points pour terminer à 4.277,63 points, dans un faible volume d’échanges de 2,8 milliards d’euros. La veille, l’indice parisien avait reculé de 1,65%.
Depuis le 1er janvier, le marché parisien a perdu 28,4%. Il affiche un repli hebdomadaire de 6%. La cote parisienne a fait du yo-yo vendredi. Après une ouverture en hausse, portée par une publication chinoise meilleure qu’attendu, elle a changé plusieurs fois de tendance en deuxième partie de séance, entravée par les rivalités sino-américaines, avant de se redresser in extremis. "Ce qui a fait un temps remonter le marché dans l’après-midi, ce sont les chiffres américains de production industrielle et de confiance des consommateurs qui sont meilleurs que prévu", a expliqué à l’AFP Daniel Larrouturou, gérant actions chez Dôm Finance.
L’indice Eurostoxx 50 de la zone euro a pris 0,38%. La bourse de Francfort a gagné 1,24%, après deux semaines de forte baisse, Londres est monté de 1,01% et Paris a refait surface in extremis . En revanche, Milan a fini stable (-0,09%) et Madrid en repli de 1,08%. Wall Street reculait au moment de la clôture européenne. "Cette semaine a été marquée par un regain d’aversion au risque, sur fond de crainte d’une deuxième vague d’épidémie, de faiblesse de la reprise économique post confinement et de tensions croissantes entre les USA et la Chine", récapitule la banque Edmond de Rotschild dans un point marchés.
Pour Daniel Larrouturou, gérant actions chez Dôm Finance, le rebond des trois principaux indices européens a aussi "des considérations techniques" car elle intervient après plusieurs mouvements de baisse. La séance a été arrosée d’un ensemble de nouvelles mitigées.
Parmi les points positifs : aux Etats-Unis, la production industrielle a chuté de 11,2% en avril, sa plus forte baisse mensuelle de l’histoire de cet indice, mais les analystes s’attendaient à pire (-12,1%). En outre, la confiance des consommateurs s’est améliorée début mai, les ménages ayant reçu des aides gouvernementales pour faire face à l’impact économique de la pandémie de Covid-19.
"Les investisseurs y voient des motifs d’espoir car cela pourrait signifier que la consommation va reprendre avec une certaine vigueur aux Etats-Unis une fois la période de confinement terminé", commente Daniel Larrouturou.
Mais si la Chine voit sa production industrielle grimper de 3,9% en avril sur un an, un rebond meilleur qu’attendu, ses ventes de détail ont chuté à nouveau.
La France continue d’émettre des obligations indexées sur l’inflation, protégeant ainsi les investisseurs d’une perte de valeur de l’euro.
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