
La Centrale (place de marché automobiles) vendue à OLX, filiale de Prosus, pour 1,1 milliard d’euros
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
La Banque de France vient de publier un document mettant en garde la population contre les dangers liés au développement des Bitcoins.
Publié le par
Le fonds en euros EURO+ proposé par Swiss Life a publié une performance annualisée de + 3.60 % en 2024, sans bonus de rendement ni autre artifice marketing. Accessible via le contrat d’assurance-vie monosupport Placement-direct EURO+. Sans frais sur les versements, seulement 0.60% de frais de gestion, ce contrat EURO+ peut être considéré comme étant un des meilleurs plans épargne sans risque.
Depuis plusieurs mois, la monnaie virtuelle "Bitcoin" connait un succès planétaire. Utilisée pour réaliser toute sorte d’achat sur internet, cette monnaie, qui n’est pas régulée, est notamment un outil incontournable de nombreuses transactions illicites effectuées sur le web.
Lancé en 2009, les Bitcoins peuvent être échangés en ligne contre de l’argent réel et font aujourd’hui l’objet d’une "spéculation monétaire" très active.
Dans une note publiée jeudi 5 décembre, la Banque de France met en garde contre cette monnaie "hautement spéculative" et qui présente "risque financier certain" pour les particuliers qui l’utilisent.
Il faut dire que la volatilité de cette monnaie virtuelle est impressionnante. Fin novembre, elle a dépassé la barre des 1.000 dollars (record historique) contre seulement 200 dollars un mois avant.
"Si la forte volatilité du Bitcoin constitue un intérêt éventuel pour des spéculateurs particuliers ou professionnels, ces derniers doivent néanmoins être conscients des risques encourus", indique la Banque de France dans sa note.
De plus, les Bitcoins ne sont adossé à aucune activité réelle et la sécurité des coffres forts numériques qui la contiennent n’est garanti par aucune autorité et donc vulnérables aux attaques informatiques.
Enfin, la convertibilité de cette monnaie n’étant assuré par aucune institution officielle, un investisseur peut tout à fait se retrouver sans aucun moyen de récupérer son capital. Depuis sa création, le Bitcoin a d’ailleurs été en "pénurie de conversion" à quatre reprises.
Par ailleurs, la Banque de France souligne que l’activité de conversion du Bitcoin proposé par certains sites internet devrait être considérée comme un service de paiement et donc soumis à l’obtention d’un agrément auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution.
Un agrément qui obligerait les établissements à lutter contre le blanchiment d’argent et qui implique également la surveillance de la sécurité opérationnelle des plates-formes par la Banque de France.
OLX, filiale de Prosus, entre en négociation exclusive avec Providence en vue de l’acquisition de La Centrale, première marketplace (...)
Au premier semestre 2025, le chiffre d’affaires de Beneteau s’est élevé à 404 millions d’euros contre 557 millions d’euros au premier semestre (...)
La Chine, 2e puissance économique mondiale, figurait encore dans la liste des pays en voie de développement. Ce ne sera plus le cas, la Chine (...)
Investir sur des ETF MSCI World ou S&P500 au sein de son PEA est tendance. Et pourtant, l’attrait fiscal du PEA est, en théorie, réservé à (...)
Le secteur de l’informatique quantique décolle enfin ! Et pour les investisseurs, les cours s’envolent déjà !
La banque du Japon (BoJ) a laissé ses taux directeurs inchangés, et en a profité pour indiquer le lancement de son plan de cession de son (...)