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Une véritable saison pour une série sur une plateforme de streaming, le rachat de twitter par Elon Musk est un véritable sketch.
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Un jour avant la date limite fixée par la justice américaine, Elon Musk a confirmé le rachat de Twitter au prix convenu. Le trublion de la finance a adressé un message aux annonceurs pour préciser ses intentions. Il tente de rassurer les 7.500 salariés, dont il avait promis le licenciement de 75% d’entre eux.
Les investisseurs croient en tout cas à cette opération, digne d’une saga de Hollywood : le cours de Twitter était à 53,96 dollars jeudi en milieu de séance à Wall Street (+1 %), à quelques encablures des 54,20 dollars par action proposés par Elon Musk. Le réseau social va donc passer sous le contrôle de l’homme le plus riche du monde pour quelque 44 milliards de dollars. Dans ce message de quelques lignes, le patron de Tesla et de SpaceX affirme acheter le réseau social car il est « important pour l’avenir de la civilisation d’avoir une place publique en ligne où une grande variété d’opinions peuvent débattre de façon saine, sans recourir à la violence ». Evidemment, pour un tel prix, le génie Musk entend bien ne pas tout perdre. Et il va falloir donc rassurer les annonceurs.
« Ceci dit, Twitter ne peut évidemment pas être un endroit infernal ouvert à tous, où tout peut être dit sans conséquence », écrit-il encore. En se décrivant comme un « absolutiste de la liberté d’expression », le milliardaire avait effrayé à la fois à l’intérieur de Twitter et au-dehors.
« Les publicitaires veulent dépenser leur argent dans des environnements sûrs pour leur marque. S’ils considèrent que Twitter n’est pas sûr, ils peuvent choisir de dépenser leur argent ailleurs », explique Jasmine Enberg, analyste chez eMarketers. Ce qui serait catastrophique pour la plateforme, qui dérive environ 90 % de ses revenus de la publicité en ligne. Il semblerait qu’Elon Musk a pris conscience de la menace et cherche à désamorcer la situation confirme le quotidien Les Echos.
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