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Au grand damne des petits porteurs d’actions EDF, spoliés, l’entreprise affiche de nouveau des bénéfices au premier semestre 2023. La recapitalisation n’est plus à l’ordre du jour, les fonds du livret A pourraient financer EDF.

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EDF a renoué avec les bénéfices au premier semestre cette année, engrangeant 5,8 milliards d’euros, forte du redémarrage de plusieurs de ses réacteurs nucléaires sur fond de prix de l’électricité soutenus. Cette progression marquée, pour un chiffre d’affaires de 75,5 milliards d’euros, s’explique notamment par "une bonne performance opérationnelle", a souligné jeudi le groupe, qui compte aussi sur la production hydroélectrique grâce à un remplissage des barrages "supérieur aux moyennes historiques".
Le groupe a relevé ses objectifs financiers pour 2023, bien que toujours contraint par de gigantesques besoins de financement et une dette abyssale de 64,8 milliards d’euros. "Ces résultats traduisent les efforts intensifiés de l’ensemble des équipes d’EDF", a dit son PDG Luc Rémont, arrivé en novembre. "Partout" a été "engagé un travail profond d’amélioration de l’efficacité" du groupe qui "est en bonne voie pour relever tous ses défis d’avenir".
Aujourd’hui, sur les 16 réacteurs les plus sensibles à cette corrosion, 11 ont été réparés, deux sont en cours, deux le seront d’ici fin 2023 et Cattenom 4 le sera à l’occasion de sa maintenance décennale à partir de décembre, selon M. Rémont.
EDF a confirmé une production de 300 à 330 TWh cette année, visant 335 à 365 TWh en 2025. Le tout ne pourra provenir que de ses 56 réacteurs existants, mis en service entre 1979 et 2002, et de l’imminent réacteur EPR de Flamanville, puisque la nouvelle génération de réacteurs (EPR2) n’est espérée au mieux qu’à partir de 2035.
Le gouvernement, qui a renationalisé le groupe à 100%, met la pression sur l’entreprise et réclame une production de 400 TWh en 2030. Cet objectif, annoncé par la direction d’EDF elle-même, est un "défi industriel colossal", juge son patron. Il nécessitera de relever la puissance de certains réacteurs, pour quelque 20 TWh, a-t-il souligné. Une recapitalisation par l’Etat n’est "pas à l’étude", a déclaré jeudi M. Rémont, qui se fixe "des exigences de performance d’une entreprise normale". Plusieurs options sont avancées, dont des prêts à taux zéro et la mobilisation du livret A, a listé récemment le gouvernement, évoquant une décision d’ici à fin 2024
Surtout, le gouvernement et EDF devront s’accorder sur le prix futur de l’électricité nucléaire, alors que le mécanisme (Arenh) qui contraint l’opérateur historique à vendre de l’électricité à bas prix à ses concurrents s’éteint en 2025.


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